Texte unitaire contre la Charte des langues régionales !
Pétition
86
signatures
Encore 14 signatures pour que cette pétition ait plus de chances de devenir virale sur les réseaux sociaux.
Auteur :
Auteur(s) :
Le bureau du CO.U.R.R.I.E.L
Suivre cet auteur
Recevez l'actualité de cet auteur
Auteur suivi
Ne plus recevoir l'actualité de cet auteur
Destinataire(s) :
députés et sénateurs
La pétition
Le 28 janvier 2014, l'Assemblée nationale a voté la proposition de loi visant à ratifier la charte des langues régionales et minoritaires.
Attachés à la préservation de la diversité culturelle et linguistique, les signataires de la présente pétition exigent des parlementaires qu'ils renoncent à ratifier cette charte. Celle-ci aurait pour effet de désétablir le français, et loin de protéger les langues régionales, elle contribuerait à accroître l'emprise de l'anglo-américain en affaiblissant les protections juridiques qui endiguent la destruction de la langue commune de tous les Français.
Cette « charte » ne crée pas un droit aux langues régionales, qui existe déjà de fait : elle crée un droit à ne pas parler français en France.
Tout en brisant l'indivisibilité constitutionnelle et historique de la République, tout en reniant l'égalité des citoyens devant la loi, cette charte fédéraliste ne dit qu'une chose : il ne doit plus être nécessaire de connaître la langue française pour vivre en France. Administrations, justice, scolarité, études, commerce : le citoyen « français » ne doit plus se voir contraint au français, et l'identité « territoriale », devient opposable à la citoyenneté nationale.
Les signataires demandent aux sénateurs de voter contre la ratification de la charte lors de sa présentation prochaine au Sénat, et exigent, si ce texte devait être malgré tout adopté, qu'il soit soumis à référendum.
Primo-signataires de la pétition contre la Charte des langues régionales :
Le bureau du CO.U.R.R.I.E.L
Albert Salon, ancien ambassadeur, président d'Avenir de la langue française (ALF) et du Forum francophone international-France (FFI-France)
Régis Ravat,Président de l'A.FR.AV
Guillemette Mouren-Verret, secrétaire générale de DLF
Philippe de Saint Robert, Ancien Commissaire général de la langue française, Président de l'Asselaf
Philippe Loubière, Rédacteur en chef de la revue Lettre(s)
Denys Ferrando-Durfort, Président de l'association "Le Français en Partage"
Marc Favre d"Échallens, Président de Droit de Comprendre (DDC)
Anna Maria Campogrande, Présidente d’Athena (Association pour la défense des langues officielles de la Commission européenne.)
86
signatures
Signez avec votre email
Encore 14 signatures pour que cette pétition ait plus de chances de devenir virale sur les réseaux sociaux.
Veuillez sélectionner une option
Vous êtes sûr ? Votre mobilisation est importante pour que les pétitions atteignent la victoire ! Sachez que vous pouvez vous désinscrire dès que vous le souhaitez.
En signant la pétition, j'accepte que MesOpinions traite mes données à des fins de gestion de signatures et des commentaires. J'accepte également d'être informé(e) des actions citoyennes initiées via MesOpinions. Pour en savoir plus, sur ces traitements et sur mes droits, je consulte les conditions d'utilisation.
Non il n'y a pas plus urgent ! Les langues régionales ne sont pas un problème, c'est une solution.
De plus, ce n'est pas un folklore ce sont encore des langues vivante, mais pour combien de temps ?
Mais continuons à étouffer nos langues et nos cultures puisque tout va bien en France depuis que les langues régionales se meurent (moitié du XXième siècle environ), j'imagine qu'on a raison !
50
Le 04/02/2014 à 17:59:43
Bonjour
il y en a qui n'ont rien compris (ou c'est peut être moi )
ce que j'ai compris (j'ai été voir le texte), c'est que la langue Française reste et demeure la priorité dans l'enseignement ,et dans toutes les démarches administratif ,maintenant les langues de nos régions ,c'est notre patrimoine ,n'en déplaise a certains " intellects" :
depuis longtemps , les villes mettent le nom de leur ville dans les deux langues ,et cela n'a jamais géné personnes
LA LANGUE FRANCAISE RESTE ET RESTERA LA PRIORITEE
10
Claude - Le 03/02/2014 à 11:45:08
Opposition à la ratification de la charte. Pas question d'accepter des engagements comme sugérés; le pays a d'autres soucisdéjà En France il est oblicatoire de parles et d'utiliser le Francais (Villers Coteret , 1539 frabçois 1er - 1ère et 3 ème républiques).l e Français constitue le ciment de notre République. Lle reste est folklore,respectable certes, mais ne doit pas coûter un sou au contribuable, déjà le double affichage est un luxe de trop. De plus le terme "langues minoritaires" ouvre la oie à l'utilisation des langues étrangères à notre culture (Afrique, Orient....) et à de futures actions d'activistes des "communautés" pour exiger que notre administration (écoles,mairies, préfectures, tribunaux, parlement ...) les parle. Danger.... Claude à Antony