Alors qu'il avait disparu depuis une journée, c'est un pompier qui l'a découvert gisant près du stade municipal avec une flèche d'arbalète plantée dans le cou. 

Grâce à l'intervention rapide d'un vétérinaire, il a pu être sauvé de justesse. Grâce à une chance inouïe, la flèche est passée à quelques millimètres des organes vitaux. Mais sa convalescence s'annonce longue et douloureuse.  

La question qui se pose dans tous les esprits qui a pu commettre un acte aussi violent ?  

La famille de Câlin, sous le choc, refuse de laisser cet acte impuni. Une plainte devait être déposée à la gendarmerie, dans l'espoir que l'auteur soit retrouvé et sanctionné. Car derrière cette attaque, c'est aussi la question de la sécurité qui est posée : quand quelqu'un s'autorise à tirer sur un chat, qui peut dire que cela s'arrêtera là ?  

Les agressions envers les animaux ne sont malheureusement pas isolées. Chaque année, de nombreux chats et chiens sont retrouvés blessés ou tués par des tirs, des empoisonnements ou d'autres actes de cruauté gratuite.

Tirer à l'arbalète sur un animal est un acte barbare et dangereux  qui révèle une absence totale d'empathie. Mais c'est aussi un danger pour les habitants : une personne capable de commettre un tel acte dans un lieu public, fréquenté par des familles et des enfants, représente une menace bien réelle.  

Câlin a eu la chance de survivre. Mais combien d'autres animaux ont été victimes sans que personne ne le sache ? Une pétition a été lancée par une citoyenne pour demander que le coupable soit retrouvé et jugé. Joignez-vous à elle et signez-la dès maintenant ! 

En attendant, Câlin entame une convalescence difficile, sous la surveillance attentive de sa famille.