Deux ans après les horreurs qui avaient saisi toute la communauté équestre en France, une nouvelle jument a été retrouvée mutilée froidement dans son pré.
Est-ce que toutes ses horreurs sont sur le point de recommencer ? Dans tous les cas, nous devons agir vite !
En effet, pas moins de 500 signalements avaient été recensés en France en 2020 concernant des actes de torture sur des chevaux.
Aujourd’hui en 2022, une jument a été retrouvée sauvagement mutilée dans son pré sur la commune de Fontangy. La pauvre bête âgée de 22 ans présente une large entaille au niveau de l’encolure, l’un de ses yeux, son oreille gauche et ses mamelles lui ont également été retirés.
Qui peut être capable d’un tel acte ? Nous ne le savons pas, car les coupables de 2020 n’ont JAMAIS été retrouvés. Aujourd’hui, ma tristesse est immense devant cet acte, mais ma colère est encore plus grande !
Il ne faut plus attendre d’avoir d’autres cas ! Nous avons mis bien trop de temps à réagir lors de la vague de mutinerie des années passées.
En 2020, des cellules spéciales avaient été ouvertes et selon la gendarmerie nationale dans un article de France 3 régions sur France info, ces cellules existent toujours : "Aujourd'hui, le phénomène s'est tari, mais les moyens existent toujours".
Nous pouvons être vigilants pour nos chevaux, mais nous n’avons pas tous les moyens d’installer des caméras dans nos prés. Nous ne pourrons pas retrouver ces assassins nous-même.
Alors nous demandons à ce qu’une enquête soit faite, et à ce que les cellules spéciales soient rouvertes en fonction des résultats de l’enquête. Sans oublier des peines strictes et sévères pour les coupables !
Aucun d’entre vous n’aimerait retrouver son cheval dans cet état au petit matin.
Alors s’il vous plaît, signez et partagez cette pétition massivement pour éviter à d’autres chevaux de perdre la vie.
Photo : article bienpublic.com
Vous êtes sûr ? Votre mobilisation est importante pour que les pétitions atteignent la victoire !
Sachez que vous pouvez vous désinscrire dès que vous le souhaitez.