L’introduction du « coleo » au Chili il y a trois mois, une pratique équestre originaire du Venezuela, a suscité une vague d'indignation sur les réseaux sociaux et parmi les groupes de défense des animaux, qui dénoncent la maltraitance des animaux dans ce « sport ».
Bien que le « coleo de toros » soit une tradition profondément enracinée dans les plaines vénézuéliennes, son arrivée au Chili a suscité un débat sur le traitement éthique des animaux. La municipalité de Paine a même émis un communiqué concernant un événement de « coleo » prévu à Colonia Kennedy, indiquant que l'activité n'est pas autorisée par la municipalité.
Le « coleo de toros » implique quatre cavaliers, leurs chevaux et un taureau. L'objectif est de faire tomber le taureau en le tirant par la queue jusqu'à ce qu'il tombe le plus de fois possible dans un délai de quatre minutes.
Il est affligeant de constater que cette pratique entraîne un traitement cruel et inhumain des animaux, les faisant souffrir pour le simple divertissement des spectateurs.
Il est révoltant de déplorer que ces animaux soient utilisés comme des objets de divertissement, subissant des blessures graves et une détresse émotionnelle sans raison valable.
Il est impératif que les autorités chiliennes et aussi vénézuéliennes prennent des mesures pour interdire le « coleo » et punir ceux qui le pratiquent, tout en promouvant des alternatives respectueuses des droits des animaux.
Les organisations de défense des animaux doivent également intensifier leurs efforts pour sensibiliser le public aux conséquences de cette pratique barbare et promouvoir le respect et la compassion pour la vie animale.
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