Ne soyez plus complices du martyre et du massacre de milliers d'animaux

Monsieur le Président, 

En garantissant les fourrures comme des objets de valeur, les assureurs reconnaissent et en agréent le commerce, et ainsi le martyr que tous ces animaux ou d'élevage ou sauvages subissent pour le plaisir égoïste d'une minorité d'individus dont le paraître est plus important que tout.

Des centaines de reportages le prouvent sur la toile et démontrent la souffrance de ces animaux dont le défaut est d'avoir un pelage agréable à la vue.  

Vos nouvelles orientations vers le monde digital, le respect du développement durable, démontrent que le monde de l'assurance évolue.

La profession ne peut que valider ce retrait de toute assimilation à des objets de valeur ces vêtements en leur donnant une reconnaissance que rien ne justifie... bien au contraire. 

Une chaîne de grands magasins vient de retirer tous les produits de ce type de ses rayons... Montrons que les assureurs ont aussi une éthique: le respect de l'animal.

Soyez le modèle irréprochable et prouvez qu'argent ne rime pas toujours avec profit à tout prix. Il est important que vous écoutiez tous vos assurés qui ont le même combat et pour lequel l'Assemblée Nationale a tranché: L'ANIMAL N'EST PLUS UN OBJET.

Nous vous remercions de la considération avec laquelle vous traiterez ce problème car nous en sommes convaincus, vous ne pourrez pas refuser de donner suite à cette démarche.