En France, un pêcheur de loisir sur deux pratique la pêche au vif. Cette technique consiste à utiliser un poisson vivant comme appât : l’animal est embroché par le dos ou la bouche avec un hameçon puis jeté à l’eau. Certains pêcheurs de loisir vont même jusqu’à lui infliger d’autres blessures pour qu’il saigne afin d’attirer encore rapidement le poisson carnassier qu’ils cherchent à piéger.
Comment ne peut-on pas être horrifié par cette cruauté ? Comment des magasins Decathlon, comme celui de Valence, peuvent l’alimenter ? De plus en plus de voix s’élèvent contre la pêche au vif : une proposition de loi a été déposée à l’Assemblée nationale, des collectivités prennent position (c’est par exemple le cas de la métropole de Grenoble et de la Mairie de Saint-Étienne)...
En fournissant aux pêcheurs de loisir des poissons à des prix dérisoires, Decathlon a une grande part de responsabilité dans le fait que la pêche au vif perdure en France. Aux côtés de PAZ, association de protection animale mobilisée contre cette pratique, je demande au Decathlon de Valence d’arrêter de faire du business sur la cruauté envers les animaux : il ne doit plus vendre de poissons !
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