Mes chers compatriotes,
L’heure est grave.
Alors que le monde entier se mobilise pour lutter contre le réchauffement climatique, la forêt amazonienne va mal.
Chaque année, celle-ci est de plus en plus victime des multinationales sans scrupules qui ne cherchent qu’à garnir leur portefeuille.
Chaque année, les zones concernées par la déforestation sont de plus importantes.
La déforestation dans la région amazonienne du Brésil a augmenté de 9,5 % entre 2019 et 2020 selon les chiffres publiés par l'Institut national de recherche spatiale brésilienne.
Il est temps de faire changer les choses car sans le savoir, tout le monde est concerné par la problématique.
En effet, l’Amazonie joue un rôle clé dans la régulation du climat mondial. Les forêts tropicales ont des arbres à feuilles persistantes qui ont la capacité de stocker du carbone. La combustion libère du carbone dans l’atmosphère et renforce l’effet de serre qui provoque le réchauffement de la planète et le changement climatique.
Derrière ces chiffres et le réchauffement climatique, il faut également tenir compte des des nombreuses populations indigènes qui profitaient de la richesse de sa grande biodiversité qui leur permettait de vivre.
Aujourd’hui derrière les chiffres exorbitants rendus publique par les scientifiques, c’est une crise on ne peut plus réelle qui ‘abat sur les autochtone de cet immense et magnifique espace vert.
Cette déforestation témoigne d’un grand recul non seulement des politiques environnementales, mais aussi des politiques en matière de droits humains dans la région nord du Brésil.
Malheureusement, cette énorme crise a atteint leur paroxysme avec l’arrivée du président Jair Bolsonaro.
Le 38ème président a d’ailleurs donné la priorité aux profits des grandes entreprises en déclarant que «La région amazonienne ouverte aux affaires» tout en mettant de côté les tribus qui habitaient jusque-là la forêt.
Chaque année, la superficie de la forêt amazonienne diminue afin d’y élever du bétail pour ensuite exporter leurs viande vers l’étranger dans la plupart des cas.
Les populations qui occupaient ces territoires sont chassées par les éleveurs et n’ont plus aucun endroit pour vivre ou auront très difficile de s’habituer à la vie citadine.
L’un des exemple les plus répandu mais encore très inconnu du grand public est celui des habitants de la réserve de Rio Jacy-Paraná qui ont été chassés chassés par des éleveurs de bétail et des grileiros (nom que l’on donne à des personnes qui s’approprient illégalement des terres) lors de saisies de terres alors qu’il s’agissait d’une zone protégée.
Selon Amnesty international, 63% des zones déforestées entre 1988 et 2014 ont été transformées en pâturages pour le bétail, ce qui représente cinq fois la superficie du Portugal.
Certains dirigeants brésiliens se sont rassemblés lors d’une audience publique au Congrès de l'État de Rondônia pour débattre d'un texte de loi visant à réduire de 1 520 km² la superficie de la réserve de Rio Jacy-Paraná.
Chose qui selon Richard Pearshouse aura pour effet la régularisation des saisies de terres pour l'élevage commercial illégal de bétail à l'intérieur de la réserve. Ce qui aura pour effet d’encourager d’avantage les nouvelles saisies de terres dans les zones protégées de l'Amazonie.
Je le redis, les choses doivent changer !
Les choses doivent évoluer !
Si comme moi, vous vous avez été touchés par cette réalité, signez cette pétition afin de changer les choses.
Vous êtes sûr ? Votre mobilisation est importante pour que les pétitions atteignent la victoire !
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