Le gouvernement vient d’assouplir les modalités d’approvisionnement des laboratoires en animaux, autorisant ainsi leur vente par les élevages non agréés. La France est pourtant déjà « championne d’Europe » de l’expérimentation animale avec plus de deux millions de victimes par an, les unes empoisonnées à petit feu par des substances toxiques, les autres subissant infarctus ou maladies graves délibérément provoqués, les dernières servant à « fabriquer » des fœtus qu’on leur arrache du ventre pour les disséquer.
Nous devons faire barrage à cet article du décret. L’opinion n’a aucune idée de ce qui se trame pour nos compagnons.
En ce qui concerne les chiens, les établissements qui le souhaitent pourront donc écouler leur « surplus » en échappant à tout contrôle : une facilité qui tombe à point pour exploiter les « invendus » liés à l’arrêt des activités du printemps.
Les investigations de One Voice ont révélé que les éleveurs de chiens de chasse ont toujours été proches des laboratoires pour leur fournir des victimes idéales. C’est avec l’aval des autorités qu’ils pourront réinvestir ce marché mortifère.
Je soussigné(e), m’associe au recours gracieux de One Voice pour obtenir l’annulation du décret n° 2020-274 du 17 mars 2020 qui vise à augmenter le nombre de « chiens-cobayes » au lieu de financer les méthodes alternatives.