Cher(e)s ami(e)s,
Alors que des personnalités publiques se battent avec une énergie et des moyens décuplés pour leurs intérêts personnels ou de partis politiques, beaucoup d’entre nous s’engagent pour les animaux, pour la nature, pour l’environnement avec de petits moyens : sincérité, éthique, progrès.
Cela fera la différence, un jour.
Je voulais vous donner quelques nouvelles.
J’ai assisté récemment à une conférence qui portait sur les évolutions en biologie et en médecine, traitant notamment des mini organes.
L’intervenant a mis en évidence les progrès liés au champ de recherche des organoïdes, notamment cérébraux, intestinaux, en lien avec certains muscles ou avec certaines tumeurs.
Le 1er organoïde cérébral a été mis au point en 2008.
Le 1er organoïde cérébral humain a été mis au point en 2013.
Les organoïdes cérébraux ne sont pas des mini cerveaux, ce sont en pratique des structures rudimentaires.
L'intérêt du champ de recherche sur les organoïdes est d’appréhender l’ingénierie tissulaire avec une architecture en 3 dimensions, donnant des informations pour comprendre les mécanismes de reconnaissance et de construction des tissus, et de poursuivre la compréhension sur les thématiques des cellules souches pluripotentes, notamment, c’est-à-dire celles capables de redonner l’ensemble des tissus d’un organisme y compris les cellules germinales (celles qui peuvent donner naissance aux spermatozoïdes et aux ovocytes).
Au fil des années, il y a eu un glissement sémantique du terme organoïde.
Il est possible aujourd’hui d’obtenir des organoïdes de moëlle épinière même s’il manque des éléments, notamment en termes de vascularisation.
L’intervenant a évoqué évidemment l’utilisation du modèle animal, la transplantation d’organoïdes dans un cerveau de rat lésé, par exemple.
Je suis intervenu pour lui poser des questions en lien avec l’irreproductibilité du modèle animal chez l’homme et en relation avec la directive 3R. L’intervenant, que je remercie, a été sincère dans ses réponses. Tous les scientifiques n’auraient pas une telle attitude.
Organoïdes cérébraux :
La limitation des connaissances en raison même
de l’utilisation du modèle animal
Etudiants, Chercheurs, Biologistes, Médecins, Pharmaciens, Militaires, les résultats sur le modèle animal ne seront jamais transposables, utilisables chez l’homme, assez de souffrances animales, BRISEZ L’OMERTA !
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