Pour la fermeture du zoo de Lyon et le placement des animaux dans des refuges
"Les animaux sauvages n’ont pas leur place dans des enclos".
Voilà ce que déclarait en 2020 Grégory Doucet, alors candidat aux élections municipales, à propos du zoo municipal de Lyon. Mais une fois élu Maire, Monsieur Doucet n’a malheureusement pas mis en application ces belles paroles...
Près de 400 animaux sont toujours emprisonnés au cœur du parc de la Tête d’Or et ce avec l’argent public. Car oui, ce divertissement absurde est entièrement financé par nos impôts, l’entrée étant gratuite. Quel scandale !
Les conditions de détention des animaux sont choquantes.
Dans la nature, les singes ont pour habitude de sauter d’arbres en arbres, mais au zoo de Lyon ils sont dans des enclos minuscules et, pour la plupart, sans accès à l’extérieur – ils peuvent certes voir le ciel à travers une vitre mais ne peuvent sentir l’air frais sur leur corps. Les oiseaux eux, sont soit confinés dans de minuscules volières, soit mutilés pour les empêcher de voler (c’est pour cela que les flamands roses ne s’échappent pas). Les panthères de l’amour tournent en rond dans un enclos, encore une fois ridiculement petit au regard de leurs besoins. Sans parler des girafes, des pandas roux, des loutres, du tapir… tous condamnés à une vie d’enfermement.
Nous rappelons à la Mairie de Lyon que, même nés en captivité, les animaux sauvages ont le même patrimoine génétique que leurs congénères en liberté et donc les mêmes besoins, qui ne peuvent être comblés par les zoos.
Marseille a fermé son zoo municipal en 1987 ! Les Mairies de Nancy et Strasbourg ont elles aussi mis fin à la captivité des animaux sauvages, qui ont été placés dans des refuges. Il est temps que Lyon refuse aussi de faire souffrir des animaux pour du divertissement.
Aux côtés de l’association PAZ, nous demandons au Maire de Lyon, Grégory Doucet, d’acter dès aujourd’hui sa volonté de fermer le zoo du parc de la Tête d’Or. La mise en œuvre prendra du temps mais l’engagement doit être pris dès maintenant.
En premier lieu, le zoo doit cesser de faire reproduire les animaux qu’il détient et d’en acquérir de nouveaux. Ensuite, les animaux devront être placés dans des refuges dès lors que des places sont disponibles.
Voilà ce que déclarait en 2020 Grégory Doucet, alors candidat aux élections municipales, à propos du zoo municipal de Lyon. Mais une fois élu Maire, Monsieur Doucet n’a malheureusement pas mis en application ces belles paroles...
Près de 400 animaux sont toujours emprisonnés au cœur du parc de la Tête d’Or et ce avec l’argent public. Car oui, ce divertissement absurde est entièrement financé par nos impôts, l’entrée étant gratuite. Quel scandale !
Les conditions de détention des animaux sont choquantes.
Dans la nature, les singes ont pour habitude de sauter d’arbres en arbres, mais au zoo de Lyon ils sont dans des enclos minuscules et, pour la plupart, sans accès à l’extérieur – ils peuvent certes voir le ciel à travers une vitre mais ne peuvent sentir l’air frais sur leur corps. Les oiseaux eux, sont soit confinés dans de minuscules volières, soit mutilés pour les empêcher de voler (c’est pour cela que les flamands roses ne s’échappent pas). Les panthères de l’amour tournent en rond dans un enclos, encore une fois ridiculement petit au regard de leurs besoins. Sans parler des girafes, des pandas roux, des loutres, du tapir… tous condamnés à une vie d’enfermement.
Nous rappelons à la Mairie de Lyon que, même nés en captivité, les animaux sauvages ont le même patrimoine génétique que leurs congénères en liberté et donc les mêmes besoins, qui ne peuvent être comblés par les zoos.
Marseille a fermé son zoo municipal en 1987 ! Les Mairies de Nancy et Strasbourg ont elles aussi mis fin à la captivité des animaux sauvages, qui ont été placés dans des refuges. Il est temps que Lyon refuse aussi de faire souffrir des animaux pour du divertissement.
Aux côtés de l’association PAZ, nous demandons au Maire de Lyon, Grégory Doucet, d’acter dès aujourd’hui sa volonté de fermer le zoo du parc de la Tête d’Or. La mise en œuvre prendra du temps mais l’engagement doit être pris dès maintenant.
En premier lieu, le zoo doit cesser de faire reproduire les animaux qu’il détient et d’en acquérir de nouveaux. Ensuite, les animaux devront être placés dans des refuges dès lors que des places sont disponibles.
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