Pour que le zoo du Belvédère de Tunis devienne un parc sans animaux sauvages enfermés dans des cages !
Après l'horrible histoire du crocodile mort à coup de pierres lancées sur le crâne, la morts des lionceaux, l'ours à l'agonie, le mechnouï de gazelles fait à l'interieur du zoo par des visiteurs avec des gazelles volées dans leur enclos, le rodéos à dos de rhinocéros.... des mesures de rénovations, d'amélioration de la prise en charge et de la sécurité des animaux avaient été promises par le Ministère de l'Environnement Tunisien avec un gros budget à la clef pour faire les travaux suite à ces incidents très médiatisés qui avaient provoqués un tollé international.
Aujourd'hui force est de constater que ces promesses n'ont pas été tenues et que la situation semble même s'empirer car des photos et des vidéos effroyables nous parviennent tels que cadavres d'animaux, des singes enfermés dans de petites cages au sous sol, des fauves sous alimentés et en grande souffrance physique et pshychologique, des animaux blessés avec des plaies purulentes sans parler de la grande saleté et de l'insalubrité de l'endroit dans son ensemble.
Nous, tunisiens, condamnons ce spectacle de la mort qui doit cesser et qui nous oblige à intervenir immédiatement en signalant ces conditions de détention qui ne sont absolument plus acceptables !
L'Etat Tunisien ne pouvant visiblement pas garantir le respect des normes internationales de gestion des zoos (Les 5 fondamentaux du 'Bien-être animal': l'absence de faim, soif ou maltraitance- l'absence de douleur, lésion ou maladies- l'absence de stress climatique ou physique- l'absence de peur ou d'angoisse- la possibilité d'exprimer des comportements normaux), il se doit absolument de contacter des organisations internationales de protection de la faune sauvage pour leur confier ces animaux afin qu'ils finissent leurs vies dans des réserves naturelles (ou Rescue Center).
Ledit zoo resterait un parc, un espace vert pour les tunisiens, comme dit le slogan ''le poumon de Tunis'' (Association les amis du Belvédère) sans y affamer ou faire torturer aucun animal.
Notre combat ne fait que commencer: Pour la libération animale en Tunisie !
Nous conclurerons ce plaidoyer par une citation d'Alphonse de Lamartine qui résume notre pensée et nos actions "On n'a pas deux cœurs, un pour les animaux et un pour les humains. On a du cœur ou on n'en a pas". alors AGISSONS !
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