"En même temps" que les représentants de la chasse faisaient de la retape à longueurs d'émissions tv/radio et de pubs, se mettaient en place des conventions entre des représentants de l'éducation nationale pour amener nos jeunes scolaires à découvrir, façon chasseurs, la nature dont ils prétendent être les premiers défenseurs d'où le slogan un rien provocateur de se dire "premiers écologistes de France".
Si de l'aveu même des chasseurs, cette activité est en perte de vitesse malgré la réduction de 50% du permis de chasse, il n'en reste pas moins que entre 1 et 2% de la population française continuent à pourrir la vie, surtout au moment de la réouverture, des 98 % qui n'ont guère droit à la parole compte tenu des soutiens politiques dont la chasse bénéficie.
Le fait même de lancer des pétitions dénonçant tel(le) ou tel(le) préfet(e) qui, non seulement, refuse toutes contradictions relatives à leurs arrêtés mais en plus encouragent des exterminations, notamment d'animaux soi-disant nuisibles, démontrent que cette activité dangereuse, y compris pour ses pratiquants, a encore de l'avenir.
C'est pourquoi, tout un groupe d'enseignants dénoncent avec force, ces accords signés au nom d'on ne sait quel principe éducatif et demande au ministre la fin définitive de ces conventions entre l'EN et les fédés de chasse
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