Savez-vous que des milliers d’animaux en bonne santé physique et mentale sont tués, chaque année, sans que vous en soyez informés ?
Depuis longtemps, déjà, les fourrières, saturées par les abandons et les cas de maltraitance, solutionnent le manque de place en euthanasiant les animaux, quel que soit leur état !
Cette pratique honteuse est cachée au public qui participe bien malgré lui à ce massacre, puisque ces structures sont payées par les municipalités…
Autrement dit par les impôts du contribuable. Ces euthanasies n’ont jusqu’à présent jamais fait l’objet d’une véritable dénonciation publique auprès des médias et du pouvoir politique.
Pourtant, l’élimination des animaux sociables est bien réelle et s’étend maintenant aux refuges, allant parfois jusqu’à être inscrites dans les Conventions proposées à la signature des associations protectrices des animaux !
Comment cette effroyable politique de « l’euthanasie pour tous » fonctionne-t-elle ? Prenons un exemple : celui des chats.
La loi désigne comme divaguant les chats trouvés à une distance de plus de 200 mètres des habitations ou à plus de 1000 mètres du domicile du propriétaire. Une fois capturés, ils sont envoyés en fourrière, où l'on vérifie leur identité.
S’ils en ont une, le propriétaire est contacté et à 8 jours ouvrés pour récupérer son chat (délai qui peut encore être réduit en cas de saturation de la structure d'accueil). S'il ne l'est pas ou si le propriétaire ne répond pas, l'animal est du coup considéré comme « abandonné » et devient la propriété du gestionnaire de la structure d'accueil. Sur l'avis d'un vétérinaire, le chat est ensuite cédé à une fondation ou une association de protection animale (contre mise en règle : primo vaccination, stérilisation et identification) ou tout bonnement euthanasié.
À ce jour, aucun texte ne protège les animaux sociables en divagation. La dernière loi du 30 novembre 2021, dite de « lutte contre la maltraitance animale » et dont la vocation est de « renforcer le lien entre l’homme et l’animal », elle, est muette sur le sujet, mais se montre suffisamment floue pour permettre de poursuivre cette mise à mort programmée.
En revanche, l’euthanasie n’a rien de sous-entendu dans le guide intitulé « Fourrière animale », édité conjointement par le ministère de l’Intérieur et le ministère de l’Agriculture et rédigé à l’attention des maires de France, puisque celle-ci est clairement énoncée comme un des moyens de gestion des animaux en divagation.
Notre objectif n’est pas d’entrer en guerre ouverte contre les maires et les structures communales.
Force est de constater que, par sa facilité à être mise en place et son moindre coût face au budget qu’une commune doit allouer à la construction d’un refuge, l’usage de l’euthanasie devient de plus en plus la réponse donnée à la surcharge dans les structures d’accueil des animaux sociables en divagation.
Il est de notre devoir de nous impliquer face à l’ampleur du massacre de ces êtres sans défense, qui ne demandent qu’à vivre et à être aimés pour ce qu’ils sont !
Il faut que nos élus prennent conscience que l’euthanasie ne peut être un outil utilisé par pure commodité !
D’autres solutions existent… La première étant l’application stricte de la loi, obligeant la création d’un refuge dans chaque commune de France (comme l’a fait, par exemple, dernièrement la ville d’Audenge) et remettre dans le circuit de l’adoption la population des chats sociables.
N’attendez pas demain pour agir avec nous : signez cette pétition qui sera adressée à tous les politiques et aux médias... Parce que chaque vie compte !
Vous êtes sûr ? Votre mobilisation est importante pour que les pétitions atteignent la victoire !
Sachez que vous pouvez vous désinscrire dès que vous le souhaitez.