Belle est un jeune chien de Berger de 10 mois. Son propriétaire élève par passion une vingtaine de moutons dans un champ non loin de chez lui. Belle garde paisiblement ce petit troupeau avec un autre chien.
Le dimanche 15 septembre, son propriétaire est contacté par un de ses voisins. Pendant que Belle, sa chienne, gardait son troupeau de moutons, elle a été victime d’un terrible acte de cruauté.
Le maître de Belle retrouve sa chienne couchée, couverte de sang. Il l’emmène immédiatement chez le vétérinaire. Après une radio et des soins intensifs, il réalise qu’elle a été touchée par 50 plombs de fusil.
Les plombs ont pénétré l’avant des postérieurs ; dans les tissus sous-cutanés profonds. Belle souffre, mais elle est encore vivante. Néanmoins, elle est complètement traumatisée.
Son propriétaire a porté plainte à la gendarmerie : il soupçonne un chasseur. Belle n’est pas un chien agressif. En plus, son champ était clôturé – il ne s’agissait pas d’un acte de défense, mais bien de cruauté.
Était-ce une erreur ? La personne qui a tiré aurait entendu la chienne couiner, hurler de douleur. Mais elle n’a rien fait – a préféré se sauver lâchement, en laissant Belle mourir à petit feu.
Cet acte de cruauté ignoble envers un chiot pacifiste et sans défense ne doit pas rester impuni. Montrons à la gendarmerie de Lunel et au tribunal compétent que non, en France, ces actes de cruautés gratuits envers les animaux ne sont plus tolérés.
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