LVMH : Stop au saccage du vivant !

La fortune de LVMH se fait sur l’infortune des animaux, une entreprise bâtie sur le dos de milliards d’animaux massacrés pour leur peau !

Le profit peut-être, mais pas à n'importe quel prix ! Symbole du luxe français, LVMH donne l'image d'une fortune acquise sur la satisfaction d'une clientèle exigeante, mais peu regardante ! Or, les coulisses du luxe sont bien moins glorieuses que ce qu'il laisse paraître !

OUI Monsieur Bernard Arnault, vos « sacs saccagent le vivant » !

Peaux :

Afin de satisfaire la frivolité d'une clientèle aisée, des crocodiles et des serpents sont torturés sans état d'âme, à l'aide de tiges métalliques enfoncées dans leur crâne, on leur sectionne la moelle épinière et on les écorche en pleine conscience ! Ces animaux sensibles sont produits exclusivement à des fins mercantiles et futiles dans des élevages aux États-Unis, en Afrique et en Asie. Des dizaines de milliers de reptiles sont ainsi confinés dans de petits enclos, répugnants de saleté, dont certains, à cause de leur étroitesse, n'offrent même pas la possibilité aux animaux d'étendre leur corps entièrement !

Cuirs :

Leurs peaux sont arrachées aux animaux dans des abattoirs (enfer sanglant, puant, hurlant) où vaches, veaux, moutons, agneaux subissent d'effroyables traitements, avant d'être abattus sans étourdissement ; la gorge tranchée, on les laisse se vider lentement de leur sang ! De plus, les tanneries de cuir, majoritairement indiennes, où sont traitées les peaux, rejettent leurs eaux polluées de produits toxiques comme le chlore, dans les fleuves et les ruisseaux alentours, mettant en danger les populations locales et condamnant les ouvriers à des vies écourtées !

Fourrures :

Des renards, des chiens viverrins, des lapins, pour ne citer qu'eux, sont entassés par milliers dans des cages exigües, et à l'issue d'une vie misérable, finissent dépecés encore vivants pour les plus malchanceux !

Quant aux visons, leur sort est tout aussi douloureux, leur mise à mort par gazage pouvant prendre plusieurs minutes atroces !

De plus, les actualités récentes concernant les fermes à fourrure, remplies d'animaux malades, stressés et blessés, confirment que ce sont des terrains propices aux zoonoses, ainsi des installations aux Pays-Bas, en Espagne et au Danemark connaissent des épidémies de COVID-19, obligeant l’abattage prématuré de millions de visons.

Un luxe indécent et futile qu’il est urgent de stopper.

Ce commerce, votre commerce, Monsieur Bernard Arnault, est effroyable à plus d'un titre :

- Cruautés animales

- Incitations au braconnage et au trafics d'espèces menacées

- Pollutions des sols, de l'eau et de l'air

- Développement de maladies parmi les populations et les travailleurs

- Gaspillage de ressources locales

- Injustices sociales

- Bilan carbone désastreux

- Graves allergies dues aux traitements antiparasitaires de certains produits

- Risque zoonotique, donc épidémique

Bref, ces matières animales n'ont plus leur place aujourd'hui !

D'ailleurs, les fashion week de Berlin et d'Helsinki, ainsi que de Londres en juillet dernier, étaient exemptes de fourrure et de cuir.

Monsieur Bernard Arnault, en votre qualité de PDG de LVMH, il est grand temps de prendre un autre virage, tourné vers l’éthique et le respect du vivant !

Votre fortune actuelle est imprégnée de la souffrance et de la douleur d'animaux empalés, piétinés, écorchés et torturés dans les mouroirs du monde entier !

 Nous vous demandons de supprimer toutes matières animales de vos articles et de rejoindre la liste sans cesse grandissante des créateurs et des entreprises qui ont banni les peaux exotiques, et aussi les fourrures : comme Armani, Adidas, Adolfo Dominguez, Arcadia Group (qui possède Topshop), ASOS, bebe, Chanel, H&M, L Brands (qui possède Victoria's Secret), Morgan, Mango, Nike, Nine West, Overstock.com, Puma, Jean Paul Gaultier, IKKS, Kooples, Karl Marc John, Best Mountain, Tara Jarmon, Maison 123, Sandro, Maje, Zadig et Voltaire… et beaucoup d'autres.