Le constat
En 20 ans plus de 400 morts et 3050 blessés déclarés.
Les armes de chasse tuent à plusieurs kilomètres.
Selon les sondages issus de divers horizons sur l’ensemble de la population :
81% des français sont opposés à la chasse
Plus de 80% plébiscitent les mercredis et WE sans chasse.
75% se déclarent pour son interdiction.
Les chasseurs sont 800 000 soit seulement 1,2% de la population.
Candidats, allez vous accéder aux attentes des citoyens en répondant à ces simples questions :
Les raisons pour comprendre le constat :
L’homme et ses animaux représentent 96% de vertébrés terrestres et ne sont pas les moteurs du fonctionnement du système garantissant notre survie, contrairement à l’ensemble du vivant dont les 4% restant de ces vertébrés représentant la faune sauvage sauvages. Nous sommes très très loin de l’envahissement.
Les lâchers de gibier d’élevage polluent génétiquement la faune sauvage et affectent leurs défenses immunitaires (des populations de perdrix en ont perdu leur capacité à lutte contre le froid).
Les chasses traditionnelles ne sont pas sélectives, et contraires aux engagement de l’UE, ne peuvent garantir le respect de la loi dans leur exercice, et mettent en danger des espèces protégées.
En 2020 il a été délivré 1 023 000 permis de chasser (source FNC). Un chasseur peut posséder plusieurs permis : national, départemental, au gibier d’eau au gros gibier etc…L’estimation est donc de 800 000 chasseurs soit l‘équivalent d’une seule grosse association de protection de la nature.
La chasse n’a aucune utilité vivrière, c’est un loisir.
La loi oblige les présidents des ACCA de faire respecter la loi sur le territoire de chassCA ne remplissent pas cette obligation et quand elles le font (15%) ces gardes sont des membres des ACCA et sous l’autorité des présidents…ce qui est une superposition de conflits d’intérêts.
Les agriculteurs représentent moins de 1% des chasseurs (source Fédération Nationale des Chasseurs). La ruralité est devenue un terrain de jeux d’autres professions et ce sont les habitants des zones rurales qui sont le plus opposés à la chasse.
La reconnaissance de permis de chasser français est actuellement remise en question par des pays de l’UE pour son manque de formation et de rigueur. C’est une épreuve de complaisance avec une formation de quelques heures et où ni la précision des tirs, ni une vraie connaissance du fonctionnement des écosystèmes, ne sont prises en compte.
La chasse ne reconnaît pas les droits fondamentaux des non chasseurs d’où le nombre croissant de recours devant les tribunaux.
La chasse dégrade la qualité du vivre ensemble des territoires où elle s’exerce.
L’argument de la régulation des espèces dérangeantes ne résiste pas au constat d ‘échec dont témoignent les chiffres.
La loi de juillet 1941 (transgressant la convention européenne de droits de l’homme) du maréchal Pétain, toujours en vigueur confie aux seuls chasseurs l’avenir de la faune sauvage alors que les connaissances scientifiques confortent de plus en plus le fait que nous sommes tous concernés.
Les instances consultatives (Commissions Départementales de la Chasse et de la Faune Sauvage formées de 25 membres) donnent les chasseurs statutairement majoritaires, face à seulement deux représentants des associations de protection de la nature qui, seules, défendent l’intérêt général alors que nombre d’instances concernées devraient être consultées.
Depuis quelques années les armes de guerre et munitions militaires sont autorisées (Springfield 30-06, Mauser 9,3x62…) et sont létales à plusieurs kilomètres.
Les électeurs vous remercieront de préciser vos intentions
Le Président de AOC (Alliance des Opposants à la Chasse)
Contacts : 06.09.61.51.91
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