Nous souhaitons vous faire part de notre histoire que nous avons vécue lors de vacances en Vendée. Ceci est une copie de notre histoire que nous avons transmise au Conseil de l'Ordre des Vétérinaires des Pays de la Loire.
Nous estimons avoir été traités de façon lamentable par des pseudos vétérinaires et notre chiot bouledogue français de 5 mois avoir été victime d'un inintérêt de la part de ces "professionnels" de santé animale, d'un travail bâclé, d'un "je m'en foutisme" flagrant.
Nous souhaitons dénoncer ces actes inadmissibles, irrespectueux et indignes afin que les gens sachent et n'aient jamais à vivre ce que ma conjointe et moi avons vécu.
Pour que ces personnes concernées soient connues et pour qu'enfin ces pseudos vétérinaires comprennent que leur profession est une vocation et non un business !
Merci,
Monsieur
Je souhaitais vous informer par la présente du traitement dont nous avons été victime récemment par plusieurs de vos confrères. Nous savons que votre profession n'est pas facile et que vous êtes souvent confronté à des situations difficiles mais ceci n'est malheureusement pas une excuse vis à vis du comportement intolérable, non professionnel et anti déontologique que nous avons subit.
Ma conjointe et moi même nous sommes rendu pour une semaine de vacances en compagnie de nos deux chiens. Le lendemain de notre arrivée nous constatons que notre chiot bouledogue français de 5 mois était victime de diarrhées, de nombreux vomissements et d'une extrême fatigue. Nous alarmant de son état nous décidons de prendre contact avec le vétérinaire de garde vers 23h / 23h30. Après 5 appels restés sans réponses nous parvenons à joindre le docteur et lui expliquons la situation dans laquelle notre animal se trouve. Sa première réponse fût celle-ci : "Nous nous occupons des urgences seulement pour nos clients". Nous avons de l'expérience avec les animaux et de ce fait, nous ne sommes pas du genre à demander de l'aide d'urgence pour des "petites choses". Si nous avons demandé de l'aide c'est que nous estimions qu'elle était nécessaire. Devant lui expliquer notre situation qui était que nous n'étions pas de la région car en vacances et que nous ne connaissions pas d'autre vétérinaire, le Docteur **** accepte de nous recevoir à la clinique vétérinaire de C***. Suite à l'examen de notre chiot il écarte la possibilité d'une obstruction, lui administre un antibiotique, un anti vomitif et un anti diarrhéique et nous prescrit un pansement gastrique et intestinal à administrer au chien à notre retour à la maison. Il nous conseille également de ne pas changer nos habitudes et de laisser notre bouledogue malade dormir comme d'habitude avec son "frère" dans le salon. Nous suivons donc son conseil en sachant que les vomissements avaient cessés mais que la fatigue extrême était toujours là. Bref nous avons fait confiance à son jugement et à ses conseils.
Le lendemain matin vers 8h00 notre deuxième chien aboie et hurle à la mort, je me lève donc pour aller voir se qu'il se passait et je découvre notre bouledogue étendu sur le sol en train de gémir dans sa bave et en grande hypothermie et en très grande faiblesse. Elle ne tenait plus sa tête et respirait à peine. Nous nous précipitons donc vers le vétérinaire le plus proche, qui se trouvait être celui de *********. Enfin nous pensions qu'il était vétérinaire puisque sur la façade du bâtiment se trouve l'enseigne en forme de croix blanche... Arrivé sur place avec ma conjointe portant notre chienne entre la vie et la mort dans les bras nous nous retrouvons face à deux personnes assises derrière un bureau qui après une première explication de la situation nous révèlent (enfin surtout le monsieur dont je n'ai malheureusement pas le nom mais dont je suppose fortement être ***** puisque la clinique est à son nom) qu'ils ne veulent rien faire que nous devons partir et nous rendre à C*** à plus de 10 minutes de route. Ma conjointe le supplie quasiment d'au moins jeter un coup d'œil sur notre chienne en grande détresse mais ceci ne change rien et il refuse toujours de nous porter assistance. C'est alors que je lui montre la pièce dans laquelle nous nous trouvons en lui exposant les médicaments, affiches médicales vétérinaires et autres sacs de croquettes se trouvant autours de nous en lui disant : "On est où là ? C'est bien un cabinet vétérinaire non ?!". Grand bien mal m'en a pris puisque cette personne d'une grande bonté et apparemment d'une grande intelligence se lève en furie de sa chaise, ouvre la porte et nous expulse quasiment manu militari des lieux en nous disant, je cite, "qu'il n'a pas vocation à sauver tout les animaux de la Terre", en tenant évidement compte que ma conjointe et moi même étions désemparés face à cette situation puisque nous tenions dans nos bras notre chiot entre la vie et la mort.
Article R. 242-48 - Devoirs fondamentaux
III. - Il conserve à l'égard des propriétaires ou des détenteurs des animaux auxquels il donne des soins une attitude empreinte de dignité et d'attention, tenant compte en particulier des relations affectives qui peuvent exister entre le maître et l'animal.
Forcément des mots fusent et je lui demande s'il est incompétent ou feignant et là cette personne méprisable me menace avec son poing devant le visage. J'arrive tant bien que mal a garder le contrôle et pars pour le cabinet vétérinaire de C***.
Arrivé sur place le Docteur **** prend en charge notre chien et commence les examens et c'est après notre insistance qu'il procédera à une radio et à une prise de sang. Les radios ne montrant aucunes obstructions, et en attendant le résultat des examens sanguins, la question d'un empoisonnement et/ou d'une intoxication se pose enfin. N'ayant aucunes réponses claires et nette à lui proposer sur ce qu'elle aurait pu ingérer il place notre chienne sous perfusion pour la réhydrater et décide de l'hospitaliser.
Ayant donc une idée sur les causes du mal dont souffre notre chienne nous faisons le tour de la maison et du jardin à la recherche de l'élément coupable de sa souffrance. Lors de nos investigations nous découvrons un vomi rempli de champignons, évidemment nous alertons donc le vétérinaire de ce nouvel élément. A l'autre bout du fil nous sommes en contact avec une secrétaire a laquelle nous disons ce que nous avons découvert, à savoir que notre chiot avait ingéré puis vomi des champignons, une informations qui pourrait aider au processus de diagnostique puis de soins.
Quelques heures plus tard le Docteur **** nous joint par téléphone pour nous demander si nous avions trouvé quelque chose susceptible d'avoir été ingéré par le chien. A notre grande surprise nous découvrons donc que les informations importantes que nous avions transmises auparavant n'étaient pas arrivées jusqu'à la personne concernée. Après recherches nous découvrons que nous avions appelé à C******** et non à C***. Pourquoi une telle information ne passe pas alors que C********* dépend de la clinique de C*** et que c'est encore et toujours le même nom qui revient : **** ?
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