AccueilPétitionsPétitions animauxLa pouponnière de nos bélugas est menacée par la construction d’un terminal pétrolier à Cacouna: sauvons-les !
Pétition
La pouponnière de nos bélugas est menacée par la construction d’un terminal pétrolier à Cacouna: sauvons-les !
Pétition
Victoire de la pétition
45.248 signatures
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Auteur :
Auteur(s) :
Lorraine Dubé
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Destinataire(s) :
Premier ministre du Québec Philippe Couillard
Victoire
La pétition
Mise à jour
Au nom de tous les citoyens du Québec, aux noms des environnementalistes dont monsieur Simard de Nature Québec, nos remerciements sincères à tous. Vous étiez près de 45,000 signataires à appuyer La pouponnière de nos bélugas est menacée par la construction d’un terminal pétrolier à Cacouna: sauvons-les sur le site Mesopinions.com.Plus de 52,000 Québécois se sont joints à vous dans la mobilisation de Nature Québec SAUVONS NOS BÉLUGAS. Avec l'autorisation du président monsieur Christian Simard, les administrateurs du site m’ont permis que nos signatures soient cumulées, ce qui aura donné encore plus de poids à notre mobilisation citoyenne auprès des gouvernements de Philippe Couillard et Steven Harper qui ont reçu régulièrement des suivis de l'évolution de notre mobilisation afin que les dirigeants sachent que vos regards étaient constamment tournés vers eux.Grace à une poursuite de Nature Québec, la Fondation David Susuki et la Société pour la nature et les parcs du Canada contre Oléoduc Énergie Est TransCanada pipeline, le Procureur général du Québec et le Procureur général du Canada, la Juge Claudine Roy avait ordonné l'interruption des forages dans la pouponnière des belugas. N'eut été de cette poursuite judiciaire des environnementalistes, la pétrolière albertaine continuait la supercherie sans avis scientifique. Les gouvernements complices les avaient inventés. TransCanada dépassait les normes de niveaux sonores, ce que nos environnementalistes avaient découvert.Une victoire à Cacouna a des répercussions, c'est certain. Elle nous donne espoir même si nous ne sommes pas au bout de nos peines. Il y a longtemps que je ressens qu'on peut faire notre part en tant qu'individu, en tant qu'humaniste. C'est mon initiative auprès de vous. Votre solidarité aura été un appui majeur dans notre lutte.La pétrolière albertaine TransCanada veut envahir notre territoire et notre fleuve St-Laurent sans notre autorisation, au risque de déversements et catastrophes environnementales. Il y a en effet un réel danger de voir la pétrolière nous imposer les sables bitumineux albertains. C'est très inquiétant. Il y a une forte opposition au Québec. L'essence de la démocratie est l'expression de la volonté du peuple. Nous nous inquiétons pour les espèces marines, notre environnement, notre eau potable. L'avenir de nos descendants est en jeu.La lutte contre Énergie Est n'est pas terminée, loin de là. Compte tenu de leur dossier nébuleux depuis le début, nous n'avons aucune confiance. Nous avons besoin que ces individus se sachent observés. La cause était plus grande que chacun de nous individuellement, notre union fait notre force. Une nouvelle mobilisation au Québec récolte déjà presque 75,000 signatures de citoyens opposés aux sables bitumineux albertains sur notre territoire. J'aimerais bien poursuivre cette mobilisation éventuellement avec l'appui de la communauté internationale. Autrement, les gouvernements Couillard-Harper ne respecteront pas notre volonté. Dès l'élection du PLQ de Philippe Couillard à Québec en avril 2014, ce gouvernement libéral nous a imposé les forages dans la pouponnière des bélugas à Cacouna.Le gouvernement Couillard est allé de l’avant sans aucun mandat du peuple. De plus, près de 83% de Québécois n'ont pas voté pour le premier ministre conservateur canadien Steven Harper en 2011. Ces premiers ministres veulent nous imposer la pétrolière albertaine sur notre territoire. Ils n'ont jamais été élus sous cet engagement, par conséquent, cette intrusion sur notre territoire est antidémocratique.Le passé garant de l'avenir, ce sont encore nos environnementalistes qui défendront nos intérêts supérieurs à leur frais, c'est pourquoi il nous faut les seconder financièrement. Il aura fallu des poursuites judiciaires pour découvrir toute la vérité concernant cette arnaque. Nos environnementalistes sont revenus à la charge après plusieurs tentatives où les juges les trouvaient alarmistes, pour ensuite constater qu'ils avaient raison, avec preuves à l'appui. Les bélugas étaient même exposés à des sons trop forts.Je crois profondément en nos mobilisations citoyennes. Ce combat contre le géant TransCanada sera beaucoup moins ardu si la communauté internationale avait le regard constamment tourné vers nous. Je tenais à vous prévenir que nous aurons encore besoin de votre vigilance pour la suite des choses.Nos remerciements et salutations sincères à chacun de vous.Lorraine Dubé
(...)L’influence du lobby pétrolier sur le pouvoir politique-Face au poids de cette influence, osons une question d’importance. À quoi sert le ministre de l’Environnement? Quel qu’il soit. Sert-il à protéger la faune, la biodiversité et la qualité des milieux de vie des citoyens? Ou sert-il de courroie de transmission aux décisions prises au bureau du premier ministre?Nos ministres de l’Environnement seraient-ils devenus des plantes vertes sans pouvoir réel?...» http://www.journaldemontreal.com/2014/10/16/les-plantes-vertes
TransCanada abandonne le projet de port à Cacouna !
Vous êtes plus de 44.000 à avoir signé la pétition « La pouponnière de nos bélugas est menacée par la construction d’un terminal pétrolier à Cacouna: sauvons-les ! ».
Grâce à ce soutien massif de votre part, nous célébrons ensemble une nouvelle victoire, la société TransCanada ayant annoncé qu’elle abandonnait son projet de port pétrolier à Cacouna. Il s’agit d’une bonne nouvelle pour le fleuve et pour la survie des bélugas.
Les tribunaux avaient déjà mis fin aux travaux de forage de TransCanada à Cacouna en septembre 2014 et un comité scientifique avait désigné le béluga comme une espèce en voie de disparition. Face à la mobilisation de milliers de citoyens, le gouvernement du Québec a fait marche arrière. Le droit et le bons sens ont permis de stopper le géant du pétrole dont la valeur boursière frôle les 40 milliards de dollars.
On dit que les forêts sont les poumons de la terre. Les fleuves et rivières sont ses vaisseaux sanguins. Nous n'héritons pas de la terre de nos ancêtres, nous l'empruntons à nos enfants.
Le Québec possède 3% de la réserve mondiale en eau potable et il est le 4e producteur mondial en électricité. Menace noire sur joyau bleu. Le déclin de la population de bélugas du Saint-Laurent alarme les scientifiques.
La pouponnière de nos bélugas est toujours menacée par la construction d’un terminal pétrolier à Cacouna. Interpellons le premier ministre du Québec, Philippe Couillard, pour qu'il interdise définitivement tous les travaux effectués dans l'habitat essentiel du béluga. Je joins ma voix à ceux et celles qui veulent protéger les bélugas du Saint-Laurent!
Hypothéquer l’avenir : Des scientifiques dénoncent le gouvernement de Stephen Harper à Ottawa. Près de 83% de québécois n'ont pas voté pour son gouvernement et se voient imposer l'Oléoduc TransCanada. Le gouvernement Couillard est de connivence avec lui. Tout est en place pour nous imposer le pétrole des sables bitumineux albertain.
Nos bélugas de l’estuaire sont en danger. SVP Levons-nous pour les protéger!
1 - Le temps presse. Grâce à la mobilisation de groupes environnementaux, et de citoyens, dont Nature Québec, TransCanada a été forcée de suspendre jusqu’à nouvel ordre ses forages à Cacouna, la pouponnière des bélugas du Saint-Laurent. Rien n’est gagné pour autant, car la compagnie compte bien revenir à la charge et poursuivre ses travaux, qui pourraient se poursuivre au printemps. Le site de Cacouna est donc toujours sérieusement menacé, alors qu’il s’agit du seul lieu connu où les mères bélugas donnent naissance à leur petit, et où le nouveau-né se prépare pour sa première migration d’hiver.
2 - Une espèce sérieusement menacée. La population de bélugas de l’estuaire du Saint-Laurent est aujourd'hui de moins de 900 individus alors qu’elle atteignait plus de 10 000 au 19ème siècle. Le gouvernement du Québec reconnaît qu’il s’agit d’une espèce menacée. Malgré cela, rien n’indique qu’il s’opposera au projet de terminal pétrolier de TransCanada et, par conséquent, aux ambitions pétrolières du gouvernement fédéral. Mais la suspension des travaux a été ordonnée par un jugement de la cour. La menace demeure totale.
« Il n'y a qu'une seule garantie, c'est que le pipeline va fuir. Il s'agit seulement de se demander quand, où et quelle sera la quantité. » Déclaration au journal Le Devoir de Jacques Anctil, président de la Fondation québécoise de la protection du patrimoine naturel.
3 - Le pire est à venir. Les forages ne sont que la première étape de la construction d’un terminal de transbordement de pétrole. Cette construction portera un coup fatal aux bélugas en mettant en péril leur site de reproduction, essentiel à l’élevage des petits, et qui est estimé être utilisé depuis des milliers d’années.
4 - Un projet dommageable pour le Québec. TransCanada cherche uniquement à exporter son pétrole tiré des sables bitumineux de l’Ouest canadien. Au Québec le pipeline s’étirera sur 700 kilomètres et devra traverser le fleuve pour atteindre un nouveau port pétrolier à Cacouna. Les risques de déversement de pétrole et d’une catastrophe écologique sont élevés. Ce projet n’apportera rien au développement du Québec.
5 - Le gouvernement du Québec complice. En délivrant un certificat d'autorisation permettant les forages dans la pouponnière des bélugas, le Québec s’est fait complice du gouvernement fédéral qui a complètement muselé les scientifiques travaillant à la protection des bélugas du Saint-Laurent depuis des décennies. La communauté scientifique entière est sous le choc.
6 - Le premier ministre doit intervenir. Il est urgent que tous les Québécois et Québécoises soucieux de leur patrimoine naturel se mobilisent pour exiger du premier ministre Philippe Couillard qu’il intervienne dans ce dossier. L’ouverture de voies d’exportation pour l’industrie pétrolière de l’Alberta ne doit pas se faire au détriment de la protection de notre majestueux fleuve Saint-Laurent et de celle des populations qui en dépendent, dont les bélugas et nous tous.
7 - On doit encore agir pour protéger nos bélugas. Prenez position et demandez au premier ministre Philippe Couillard de mettre fin définitivement aux travaux de TransCanada à Cacouna. C’est notre dernière chance pour sauver les bélugas!
8 - Un débat ouvert et transparent exigé. Les forages dans la pouponnière de nos bélugas ne sont que la première phase d’un projet bien plus vaste ayant des enjeux environnementaux majeurs pour le Québec. Les questions de fond n’ont jamais été débattues publiquement : Souhaitons-nous la construction d’un nouvel oléoduc (pipeline) sur plus de 700 kilomètres en territoire québécois pour assurer l’acheminement puis l’exportation du pétrole bitumineux de l’Ouest canadien? Quel impact aura ce projet sur les changements climatiques? Sur nos milieux naturels? Sur le Saint-Laurent? Que se passera-t-il en cas de déversement?
Pour sa part, Nature Québec estime que le Québec n'a rien à gagner et tout à perdre tant les bénéfices sont minimes et les risques environnementaux élevés. Les Québécois doivent pouvoir décider du sort de ce projet majeur, qui met en jeu l’avenir de nos enfants, alors que le débat sur son utilité n’a jamais eu lieu.
Or, le gouvernement permettra ce débat fondamental et dotera le Québec d'un droit de refus uniquement si nous nous opposons aux travaux à Cacouna et unissons nos voix pour l’exiger.
Victoire de la pétition
45.248 signatures
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La pouponnière de nos bélugas est menacée par la construction d’un terminal pétrolier à Cacouna: sauvons-les !
La faune sauvage est le bien de toute la planète. La pouponnière de bélugas doit être préservée. Les pétroliers sont prêts à détruire tous les espaces naturels indispensables à la vie humaine et animal. Défendons-nous contre leurs forages destructeurs.
60
Brigitte - Le 20/02/2015 à 23:23:37
Protégeons les animaux et la biodiversité.
50
Helene - Le 21/02/2015 à 00:39:01
Des espèces menacées par une minorité mue par l'appât du gain à court terme !