Rien ne semble arrêter la cruauté des braconniers, pas même la présence de zones protégées ou le déploiement d’équipes de surveillances destinées à protéger la faune de la région. En Afrique du Sud, ce sont plus de 1000 rhinocéros qui sont abattus chaque année, victimes du braconnage.
Une vidéo choquante enregistrée le 28 février 2014 par un touriste belge présente une vision cauchemardesque d’un rhinocéros écorné, dans le parc national Kruger, l’une des plus grandes réserves animalières au monde. Le pauvre animal horriblement mutilé titube le long de la route avant d’aller se cacher, pour mourir.
Vidéo : Un rhinocéros atrocement mutilé au parc national Kruger, en Afrique du Sud
Attention certaines images peuvent heurter la sensibilité des plus jeunes ainsi que des personnes non averties.
Les visiteurs du parc et leur guide, témoins de cette horrible scène, ont signalé au parc le cas de ce rhinocéros. L’animal a été retrouvé encore vivant 4 jours plus tard. Blessé d’une balle dans la tête, il a dû être abattu par les gardiens du parc pour abréger ses souffrances.
Cet horrible massacre qui sévit en Afrique du Sud est motivé par le commerce de corne de rhinocéros, alimenté par les amateurs de médecine chinoise. Certaines croyances attribuent en effet à la corne de rhinocéros des vertus thérapeutiques et aphrodisiaques. La poudre obtenue après broyage de cette corne se vend très chère dans certains pays d’Asie, même s’il s’agit principalement de kératine, un composant que l’on retrouve dans les cheveux et les ongles.
L'Afrique du Sud abrite près de 80% de la population mondiale de rhinocéros. De ce fait, il convient de renforcer les mesures de protections avant qu’il ne soit trop tard. Par la présente pétition, nous demandons aux autorités du pays et aux responsables des zones protégées, de mettre en place des mesures drastiques pour limiter le braconnage.
Vous êtes sûr ? Votre mobilisation est importante pour que les pétitions atteignent la victoire !
Sachez que vous pouvez vous désinscrire dès que vous le souhaitez.