En regardant un reportage sur France 2, j’ai appris que l’île Maurice était l’un des principaux fournisseurs de macaques pour les laboratoires européens de recherche scientifique. Ces pauvres animaux sont élevés sur des sites ou capturés illégalement dans la forêt et transportés vers des laboratoires dans le but de devenir des cobayes. Ils y subissent beaucoup de souffrances et sont sacrifiés “au nom de la recherche”.
C’est lamentable et désolant de voir cela. De telles pratiques sont cruelles et inacceptables, laissez ces singes dans la nature ! Ils n’ont pas demandé à subir vos tests.
Pourquoi l’homme se croit-il supérieur au point de penser que les animaux lui appartiennent pour réaliser ses expériences ?
Chaque année, c’est environ 4 000 primates qui sont utilisés dans les laboratoires français à des fins scientifiques.
Pourquoi ces macaques à longues queues ? Car ils partagent entre 90% et 94% de notre ADN, ils sont donc particulièrement prisés pour la recherche biomédicale. Mais nous savons que leur utilisation dans des expériences entraîne une vie de souffrances, enfermés dans des cages exiguës de seulement 2 mètres carrés.
Ils subissent des manipulations douloureuses, notamment dans le domaine de la recherche en neurologie, où ils peuvent être infectés par la maladie de Parkinson ou subir des implants crâniens.
Nous le savons puisque ces pratiques sont dénoncées par des ONG telles que One Voice. Pourtant elles persistent encore et toujours.
Le pire c’est qu’il existe aujourd'hui des alternatives à l'expérimentation animale très prometteuses. Et pourtant l’humain préférera toujours la facilité et la cruauté.
Je demande par cette pétition aux autorités de l'île Maurice de mettre fin à l'élevage et à la capture des macaques pour la recherche scientifique.
Il est temps de privilégier les méthodes alternatives à l’experimentation animale !
Il est temps de renforcer la législation pour protéger les droits des animaux utilisés dans la recherche scientifique.
Aidez-moi en signant cette pétition car ensemble, nous pouvons faire entendre notre voix et œuvrer pour un avenir où la recherche scientifique ne se fera plus au détriment de la souffrance animale.