"Après un échange de lettres entre Madame Brigitte Bardot et le Président Abdelmadjid Tebboune où celui-ci avait exprimé partager son empathie et celle de nombreux Algériens quant au respect de la vie animale ainsi qu’au traitement salubre et bienséant des animaux, nous sommes fous de joie de vous annoncer l’arrêt des électrocutions à la fourrière d’Alger, la tristement célèbre « Galoufa ».
C’est à l’issue d’une réunion à Alger de la Fondation avec le Walli (préfet) Monsieur Ahmed Mabed ce mardi 22 mars que l’annonce de l’arrêt a été prononcée. Des milliers d’animaux n’auront plus à souffrir une mort atroce. C’est une victoire historique.
Monsieur Mabed devient par là même le héros de tous les amoureux et protecteurs des animaux en Algérie et partout dans le monde. La Fondation en collaboration avec l’association locale B.C.H.E. a organisé une formation de capture de chiens avec l’expert Brian Faulkner et nous allons envoyer le vétérinaire de notre programme à Kabul avec Mayhew international pour une formation vétérinaire visant à commencer des stérilisations, départ d’une nouvelle stratégie de gestion responsable, efficace et non violente des animaux errants.
Nous demandons l’engagement des citoyens algériens qui aiment les animaux à les vacciner et stériliser pour que cette décision puisse être pérenne."
« Soyez miséricordieux sur la terre, et vous serez miséricordieux de la part de Qui est au-dessus des cieux »
Comme chaque année, les municipalités dans la wilaya d’Alger comme ailleurs, et principalement au début d’été, brutalisent et tuent des centaines d’animaux au nom de la protection de l’environnement et de la santé publique.
#STOP_GALOUFA_EN_ALGÉRIE
Les chiens et les chats sans-abris ou abandonnés en Algérie sont condamnés à mort de la manière la plus cruelle, minable et brutale, soit tués ou moitié-tués d’une façon horrible.
Capturés, blessés probablement, ils sont ramassés et ramenés dans des endroits, dans des camions par des gens qui n’ont, à mon avis, aucune pitié ou savoir dans leur façon de traiter, capturer ou tuer ces animaux.
C’est des pauvres chats et chiens généralement, jetés dans des cages, puis brûlés à l’aide de l'eau glacée et de l’électricité. Il en reste toujours des vivants ou moitié-vivants, malheureusement jetés tels qu’ils sont (brûlés, blessés, écrasés etc.), souffrant des heures et même des jours avant de mourir et rester dans la nature jusqu’à leur putréfaction.
Des animaux chassés (instructions des communes qui font appel à des bénévoles et à des chasseurs pour faire des battues et massacrer ces pauvres animaux) dans les villages par des armes de chasse, par plaisir, laissés pour souffrir de leurs blessures avant de mourir, pendant des jours (quelque chose que j’ai observé moi-même dans l’une des wilayas de l’Algérie malheureusement).
Des solutions existent, mais pour des autorités qui n’écoutent pas, qui ne cherchent pas à y savoir, ça ne sera jamais étonnant. Mon message pour vous est le suivant : « Vous faites quoi !!! Transformez vos budgets, orientez-les dans le bon sens, faites votre travail, faites du bien s'il vous reste un peu de pitié !!! »
Dans notre cher pays qui souffre de plus en plus des anarchies et des crises dans tous les domaines, on a peu à faire, mais deviendra gros si on agit tous ensemble.
Signez s’il vous plaît afin de pousser les autorités à voir d’autres solutions au lieu de massacrer ces animaux.
#stop_galoufa_en_algerie
#stop_la_fourriere_canine_en_algerie
«ارْحَمُوا مَنْ فِي الأَرْضِ يَرْحَمْكُمْ مَنْ فِي السَّمَاءِ»