À Chalamont (01320), Lieu-dit « Les Bourbonnières » un projet de poulailler industriel se prépare.
Un contrat d’intégration avec LDC (Groupe industriel), dont les marques commerciales sont : LE GAULOIS, MARIE, LOUÉ, MAITRE COQ et TRADITION D’ASIE a été signé.
39.990 poulets de chair (occasionnellement dindes) en batterie !
Ces conditions de détention ne respectent pas le bien-être animal !
Les poussins, livrés par LDC, sont transportés dès l’âge de 1 jour. Ils viennent des départements 70, 71, 44 , 45 et 49.
Ils vont ensuite rester 35 jours dans le hangar. Durant cette période, le sol ne sera pas nettoyé, la litière (copeaux de bois) restera inchangée. L’odeur d’ammoniac (émanant des fientes) va vite devenir insupportable. Des inflammations cutanées vont apparaitre chez les animaux.
Comme indiqué dans le dossier du projet (page 11), les aliments distribués contiennent tous des OGM !
Sélectionnés pour leur rythme de croissance élevé, les poulets vont atteindre leur poids d’abattage en seulement 35 jours. Le muscle grandit mais pas la structure des pattes, du cœur et des poumons. Beaucoup meurent ainsi de problèmes cardiaques.
Privés d’exercice, les animaux vont souffrir de problèmes de locomotion, voire de paralysie. Certains ne peuvent plus se déplacer jusqu'aux mangeoires : Ils meurent de faim et de soif.
Conséquences pour la santé humaine
« L’entassement d’un grand nombre de poulets dans un espace confiné favorise la propagation des bactéries pathogènes qui sont, par la suite, transmises à l’homme. Selon l’Autorité Européenne de Sécurité des Aliments, 75% du poulet industriel européen est contaminé par la bactérie campylobacter, principale responsable des maladies diarrhéiques et des intoxications alimentaires.
Dans certains cas, et par mesure de prévention, les éleveurs industriels administrent des antibiotiques à leurs poulets pour limiter ou pour éviter la propagation d’une maladie ou d’une infection, sans tenir en compte si l’animal est infecté ou pas. Cette utilisation abusive de ces médicaments peut engendrer le développement de bactéries et d’agents pathogènes résistants, ce qui représente un réel danger pour la santé publique. » Source : Santé Plus Mag.
Nous, signataires, demandons à la Préfecture de l'Ain de ne pas autoriser ce projet, au Maire de Chalamont de s'y opposer par tous les recours légaux à sa disposition.
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Comme indiqué dans le dossier du projet (page 11), les aliments distribués
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