ARRET notamment d'une autre facette encore moins connue, de ces pratiques barbares pourtant banalisées à force de répétitions, encore une fois bien malheureusement vraiment dignes de la célébre "Planète des singes.. qu'à vrai dire, les mangeurs de crustacés encore pratiquants doivent avant tout connaitre les premiers"... :
à savoir celle des (autorisations préfectorales de) tirs de vraies tueries sauvages ou exceptionnels, aux producteurs de moules notamment (ailleurs aussi) en baie de Somme, Côte d'Armor pour les conchyliculteurs de la baie de la Fresnaye (Baie de Saint-Brieuc, de la Fresnaye et de l’Arguenon)....sur les lieux mêmes de cultures côtières en bord de plages, avec l'aval parfois aussi des services régionaux de la DDTM, sur les goelands argentés ! Alors même gros paradoxe qu'il s'agit en l'occurence d'une espèce de surcroît déjà normalement protégée, car apparemment en sous effectifs : raison de plus de les sauvegarder !!!!
>> Avec développement là aussi dans le cas présent, répétons-le partiellement, des diffèrents « écarteurs » efficaces alternatifs doux inoffensifs plus ou moins connus :
- protections diverses physiques/sonores/visuels, tels les raisonnements schèmatiques d'ensemencement des pieux d'hauteur moins élevée que la maximale autorisée par le schèma de structure passive, en tenant compte de la présence des goèlands (filets, "fil tel", graines "Catiprotect", cages), rubans affolants, balises sonores, épouvantails, laser, tirs uniquement « à blanc » éloigneurs, contraceptions des oeufs etc
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