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Pétition

À Tobias - Bourg-en-Bresse/GBA : chats errants, une gestion synonyme de cruauté passive

À Tobias - Bourg-en-Bresse/GBA : chats errants, une gestion synonyme de cruauté passive Pétition
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Pétition soutenue par un Super contributeur
Auteur :
Auteur(s) :
MAD Mouvement Agir ou Dépérir, Floriane Mermier
Destinataire(s) :
A l'attention de Monsieur Debat, maire de Bourg-en-Bresse, Président de Grand Bourg Agglomération et de Monsieur Guilbaud, président du Clan Fél'Ain
La pétition

MERCI DE SOUTENIR CETTE PÉTITION


Je vis à Bourg-en-Bresse où j'ai été confrontée à l'errance féline.


Des voisins négligents laissant leurs chats se reproduire, les ayant abandonnés, nombre d'entre eux venaient chercher refuge et nourriture dans mon jardin. Malgré des ressources limitées, j'ai progressivement adopté 6 d'entre eux.


Prenant conscience de l'absence de prise en considération de la misère féline, j'ai milité pour cette cause à partir de 2019, sans me douter des résistances et des difficultés que j'allais rencontrer.


Cette pétition est dédiée à LA MÉMOIRE DE TOBIAS


Tobias est arrivé dans mon jardin il y a environ 3 ans. J'ai mis un abri et de la nourriture à sa disposition, mais il restait craintif et ne se laissait pas approcher. Malgré son jeune âge, il a rapidement développé des problèmes de santé, dont des diarrhées sanguinolentes.


J'ai donc contacté le Clan Fél'Ain, association sous convention avec la municipalité, pour lui venir en aide.


Il fut capturé pour une consultation vétérinaire, stérilisé, identifié au nom de l'association, relâché quelques jours plus tard dans ma copropriété, sans véritable investigation par rapport à ses symptômes digestifs.


Son état n'a fait qu'empirer. J'ai appelé l’association à l'aide durant de longs mois. En vain : il n’y avait jamais de place pour le prendre en charge.


J'ignore comment sont définies les priorités. L'arrière-train de Tobias était ankylosé, son pelage miteux, les diarrhées persistaient. Ne pouvant l'attraper pour le conduire chez mon vétérinaire, je le regardais souffrir, impuissante.


Malade, affaibli, Tobias a enduré le froid, les pluies torrentielles de l'automne 2023 à fin mai 2024 ! Comme je déménageais, une bénévole du Clan Fél'Ain est enfin venue le capturer.


Le vétérinaire, au vu des résultats des prélèvements sanguins, a suspecté un cancer du foie ou une maladie auto-immune incurables, sans profiter de la sédation pour lui faire une échographie hépatique, apparemment par souci d'économie pour l'association. Malgré son état, une euthanasie afin d'abréger ses souffrances n'a pas été envisagée. Faute de moyens, là encore ? Tobias a vécu alors une trop longue agonie.


Je prenais des nouvelles, mais j'ignorais alors qu'il restait prostré dans une caisse de transport, ne sortant dans la cage que pour s'alimenter un peu et faire ses besoins.


Je suis allée lui dire adieu avant son transfert dans un enclos avec Miette, une autre chatte, identifiée au nom du Clan Fél'Ain, hébergée dans mon jardin durant 8 ans.


J'ai alors découvert avec effarement dans quelles conditions les chats des rues sont soignés par l'association sous convention avec la municipalité. Les deux seules bénévoles, qui assurent, en plus de leur emploi à temps plein, les captures et les soins, accueillent les chats dans leurs garages respectifs. Celui dont j'ai entrevu la première partie est vétuste, encombré, sans fenêtres, aux antipodes des critères d'hygiène exigés dans les salles de soins. Une fois les portes refermées, les chats restent sans doute dans l'obscurité. Il y avait 5 chats en cage dans cette partie, d'autres sans doute dans des « pièces » en enfilade, puisque cette bénévole m'avait dit avoir la (sur)charge de 19 pensionnaires. La litière de Tobias présentait des coulures de diarrhée séchées.


Code rural et de la pêche maritime, article R. 214-4


https://www.legifrance.gouv.fr/loda/article_lc/LEGIARTI000035415777/2021-04-27


Il semblerait qu'aujourd'hui des contrôles vétérinaires soient obligatoires pour ce type de lieux. Qu'en est-il ?


Tobias est mort quelques jours après avoir été transféré auprès de Miette en famille d'accueil. Il aura pu dormir blotti contre elle, cherchant un réconfort auquel il n'a jamais eu droit. Il est mort dans la canicule du 30 juillet, insupportable pour son organisme épuisé, d'une insuffisance rénale.


Je tairai mon chagrin face à son calvaire, mon impuissance subie à le secourir pendant des mois. Je le revois m'attendre chaque soir dans la cour, malgré un voisinage humain très souvent hostile. Je n'ai pu que le regarder souffrir. Le calvaire de Tobias a été passé sous silence sur la page Facebook du Clan Fél'Ain.


Quoi qu'il en soit, à quoi bon pleurer les chats décédés si c'est pour entériner l'immobilisme ?


J'estime qu'il est de mon devoir de dénoncer les conditions d'accueil et de soins indignes des chats.


J'ai effectué en ce sens un signalement à la DDPP de l'Ain.


La DDPP s'abritant derrière une clause de confidentialité, il m'est impossible de savoir si mon signalement a été suivi d'effets.


Mon but n'est pas de stigmatiser le Clan Fél'Ain mais, par cette démarche et cette pétition, d'utiliser les seuls instruments en ma possession pour que les élu.e.s de Bourg-en-Bresse et des communes de Grand Bourg Agglomération (GBA) respectent enfin la loi et investissent des moyens pour mettre fin à la souffrance féline, car force est de constater que les subsides actuels (Plan de relance, subventions municipales, dons) s'avèrent insuffisants.


La dérive subie par l'association les Chat'mis de Lady Blue prouve combien l'indifférence déloyale des élu.e.s, tout comme l'absence de subventions, conduisent les associations et de nombreux refuges à faire preuve de maltraitance involontaire. Les chats retirés à la présidente ne seraient-ils pas morts dans l'errance, puisque le Clan Fél'Ain, saturé, refuse régulièrement des prises en charge ?


Le président de Fél'Ain, dont l'engagement fut longtemps vanté dans la presse burgienne, s’est lui aussi rendu coupable de sévices graves : je lui ai hélas confié un chat abandonné, castré, tatoué (dont les propriétaires restèrent introuvables) sans connaître l'étendue de la surpopulation ni les conditions cruelles de captivité des chats confinés dans un appartement.


D'où l’impératif d'attaquer le mal à la racine et d'y mettre les moyens nécessaires.


De trop nombreuses structures s'enlisent, cherchant à sauver quand même, accueillant plus d'animaux qu'il ne faudrait… Mais comment les laisser mourir dans la rue quand on est sensible à leur détresse ? Les adoptants manquent, veulent un joli chat, un chaton, rarement un adulte estropié par la vie.


Qui sont in fine les véritables responsables ?


Les propriétaires qui ne stérilisent pas, ceux qui abandonnent, mais aussi l’État, les députés qui négligent la cause animale, les élu.e.s locaux.


L'ERRANCE FÉLINE : UNE DES MISSIONS DES MAIRES


Quels sont les termes de la convention passée entre le Clan Fél'Ain et la municipalité ? Des séances de travail ont-elles lieu régulièrement entre la ville et l'association ? Le montant des subventions municipales a-t-il augmenté à hauteur des besoins ?


Je m'étonne que le Clan Fél'Ain, sous convention, ait dû en novembre 2021 proposer ce projet - retoqué ! - dans le cadre du budget participatif :


Demande de l'association : MIEUX S’ÉQUIPER POUR LA GESTION DES CHATS ERRANTS


https://jeparticipe.bourgenbresse.fr/project/budget-participatif/collect/je-depose-mon-idee/proposals/gestion-des-chats-errants


Raison invoquée pour le refus : « Cette demande doit être traitée indépendamment du budget participatif. Le projet ne sera donc pas soumis au vote des habitants ».


SAUF QUE DEPUIS, RIEN N'EST FAIT.


NB : le Clan Fél'Ain a pu faire adopter deux des chats arrivés dans mon jardin, mais Tobias n'est pas le seul chat pour lequel j'ai appelé en vain cette association à l'aide. Je l’ai fait aussi notamment pour une chatte atteinte de gangrène dont l'amputation a été réglée par une autre association aujourd'hui dissoute...


Je suis loin d'être un cas isolé. Les particuliers qui signalent des chats errants, des chatons, sont invités à payer la facture des stérilisations ou des soins par le Clan Fél'Ain qui déplore depuis des lustres le manque d'argent, de places, ainsi que le surcroît de travail.


Sur le terrain, de très nombreux habitants pallient avec leurs propres moyens, souvent dérisoires, cette gestion sans envergure. La plupart du temps, ils ne peuvent que constater la prolifération, les maladies, les décès, et doivent se heurter aux conflits de voisinage qui vont des menaces jusqu'aux sévices, voire au meurtre des chats.


Sans compter les actes sadiques « ordinaires » qui sont le lot des chats des rues (entre autres victimes animales).


JUSQU’À QUAND ?


Pourquoi aucune campagne de communication prônant la stérilisation et l'identification des chats de particuliers n'a-t-elle jamais été financée alors que Bourg-en-Bresse, GBA promeuvent sans compter des manifestations culturelles, sportives, etc. ?


NOUS PARLONS BIEN D’ÊTRES VIVANTS SENSIBLES DOUÉS D'AFFECTS.


Les militants de la cause animale le savent : spécisme oblige, les politiques – fussent-ils écologistes ou de gauche – n'accordent que peu ou pas d’importance au sort des animaux. Moins encore qu'ils n'en accordent à la nature, c'est dire ! Pour preuve, les élu.e.s de Bourg-en-Bresse et de son agglomération se refusent à investir dans une fourrière et un refuge locaux. Rentrer dans les clous d'une loi lacunaire leur suffit.


Cette Loi du 30 novembre 2021, censée améliorer le bien-être animal, autorise à sous-traiter et délocaliser les fourrières. GBA a donc signé un contrat avec la SACPA de Marennes dans le Rhône en 2020 pour un montant de 600 000 euros TTC - contrat renouvelé en 2024 pour trois ans, investissement qui, on l'observe, ne résout rien.


Alors qu’afin d'améliorer son image via la Fondation Clara, la SACPA vante la création de refuges (en nombre insignifiant), l'immense pôle de Marennes loue à la SPA des locaux tout proches de la fourrière.


Enquête de l’association One Voice sur le réseau de fourrières « 5 étoiles » SACPA : https://one-voice.fr/news/enquete-de-one-voice-dans-une-fourriere-5-etoiles-labattage-industriel-des-chiens-et-des-chats/


Animaux mis à mort chaque année en France parce que non adoptables, non identifiés : des chiffres inacceptables qui devraient faire frémir. Octobre 2023, en France : 300 « euthanasies » quotidiennes dans les fourrières, refuges, soit 100 000 par an !


https://www.agirpourlavieanimale.fr/300-euthanasies-injustifiees-par-jour-dans-les-


refuges-et-fourrieres-de-france/


Des Burgiens, sensibles à la cause animale et conscients des lacunes, avaient, il y a deux ans environ, élaboré un projet de refuge local. Leur seule requête était la mise à disposition d'un terrain. Les membres de la municipalité qui les ont reçus ont jugé leur projet intéressant, mais n'ont jamais donné suite malgré des relances.


Alors qu'aujourd'hui en France, la plupart des grandes villes et agglomérations possèdent des « Maisons de l'animal », installent des abris pour chats sans foyer, à Bourg-en-Bresse et Grand Bourg Agglomération, forte de 74 communes, on gère la misère féline de façon désuète et fatalement cruelle en se reposant sur une association monopolistique en position de force qui déplore le fait de crouler sous la demande mais semble craindre d'exiger des moyens financiers et logistiques à la hauteur de la tâche.


On sait combien les élu.e.s se révèlent pingres dès qu’il est question de la cause animale. Bourg-en-Bresse compte pourtant un « élu à l'animal en ville » (membre du Clan Fél'Ain), mais pour quelles avancées ?... Malgré des besoins évidents, aucun poste  n'est dédié à la cause animale au sein de GBA.


Le MAD Collectif, auquel j'appartiens, a envoyé en 2023 une demande de bilan sur la gestion des chats des rues, cosignée par des vétérinaires locaux, aux maires de GBA. Seuls six maires ont donné suite. Parmi eux, un seul remplit sa mission.


Le Clan Fél'Ain, qui aurait eu tout intérêt à disposer de données précises et fiables, a refusé de cosigner cette démarche essentielle (et neutre) qui eût permis, entre autres, de recenser les chats, leurs lieux de vie, de connaître les besoins des élus.


L'installation d'abris sécurisés construits localement ou de Chatipis financés par One Voice, que j'ai proposée dans le cadre du budget participatif de Bourg-en-Bresse, a été rejetée alors qu'elle avait passé le cap des critères de sélection lors d'un entretien.


https://jeparticipe.bourgenbresse.fr/project/budget-participatif-2/collect/proposez-vos-projets/proposals/abris-securises-pour-chats-sans-foyer


Raison invoquée : « Cette idée concerne des dépenses de fonctionnement et ne répond donc pas au critère "dépenses d'investissement" mentionné dans le règlement ». Comprendra qui pourra...


Ces structures offrent aux chats des lieux sécurisés et confortables, leur permettent un accès régulier à de la nourriture, de l'eau, facilitent les captures pour stériliser, soigner, évitant ainsi des épidémies. Ces abris peuvent servir de point-relais pour recruter des bénévoles, organiser des animations afin de créer du lien entre habitants et félins, à enrayer les violences en sensibilisant la population - notamment les plus jeunes – au monde animal. Le MAD eût volontiers participé à ce type d'actions.


Le Clan Fél'Ain n'était apparemment pas enthousiaste au sujet de ce projet : trop de travail, pas assez de bénévoles. Pourtant, cette même association sera sous convention avec la municipalité voisine de Jasseron pour l'installation d'un Chatipi. Où est la cohérence ?



LA VOLONTÉ de s'attaquer à l'errance féline…


GBA investit 16,3 millions d’euros dans un fastueux « Siège écologique ».


Un pôle Cause animale, doté d'un budget décent, est-il prévu ?


Il est indispensable d'ouvrir un centre de soins pour animaux errants, de construire un refuge-fourrière. D'autant que « la loi de finances 2024 prévoit l’allocation de 3 millions d’euros aux collectivités territoriales afin de les aider à prendre en charge la stérilisation des chats errants. Les conditions d’allocation de ces 3 millions d’euros seront définies en concertation avec les associations de protection animale et les acteurs de la médecine vétérinaire solidaire comme, par exemple, Vétérinaire Pour Tous ».


Un centre de soins pour la faune sauvage est également cruellement absent de notre territoire. Les animaux sauvages meurent eux aussi de l'incurie des pouvoirs publics. Actuellement, les personnes qui tentent de les secourir doivent s'adresser à des structures extérieures au département de l'Ain, déjà saturées. De nombreux animaux décèdent à cause du temps de transport comme des délais de prise en charge.


Faudrait-il qu'un virus mute vers l'humain pour que cette situation alarmante soit prise en considération ? On peut supposer hélas qu'en ce cas, les chats errants seraient tout simplement éradiqués, comme c'est le cas de par le monde dans des pays où des autorités incompétentes ont laissé la prolifération s'étendre pour choisir aujourd'hui d'organiser des tueries de masse de chats, de chiens sans foyer.


Qui suis-je ?


En 2019, j'ai cofondé le MAD, Mouvement Agir ou Dépérir, pour préserver le site de La Madeleine à Bourg-en-Bresse du bétonnage (immeuble Cardinal). Notre collectif antispéciste s'engage pour la cause animale et la nature.


NB : notre mission n'est pas la prise en charge d'animaux - bien que les membres du MAD en aient tous recueilli ou sauvé -, mais l’engagement militant pour mettre fin à la souffrance animale quelle qu'elle soit.


Nous avons en ce sens rédigé en 2024 un Plaidoyer pour les Animaux qui balaie, de façon non exhaustive mais néanmoins fouillée, le spectre de la misère animale en France et propose des solutions. Il a été cosigné par One Voice, le Mouvement pour les Animaux qui l'utilise, le diffuse énergiquement et l'a fait traduire en italien.


Ce Plaidoyer a été transmis à de très nombreux député.e.s qui se disent sensibles à cette cause, comme celles et ceux qui font partie du groupe d’études Condition et bien-être des animaux.


Mis à part Madame Corinne Vignon, alors présidente du groupe, aucun élu n'a daigné répondre à notre envoi. Que penser de la véracité de leurs convictions, de leur sensibilité à cette cause, surtout quand certains députés, comme Monsieur Xavier Breton (qui en fut le vice-président durant la mandature antérieure) se positionnent contre les lanceurs d'alerte comme L214, pour la chasse, la corrida ?


Le MAD milite pour le vote d'un permis de posséder un animal incluant stérilisation, identification, formation aux codes comportementaux, besoins, mais aussi à l'éducation positive. Il est indispensable de créer un fichier des personnes coupables de sévices, sadisme, zoophilie, meurtres, avec interdiction à vie de posséder à nouveau un animal. Trop souvent les bourreaux gardent ou récupèrent leurs animaux.


Selon leurs revenus, les personnes qui recueillent des animaux errants, adoptent, doivent bénéficier d'une TVA réduite sur les frais vétérinaires. Tout comme les associations et les refuges.


Il est absolument indispensable et urgent d'interdire les dons et la vente d'animaux sur internet, de réviser les conditions minimales de bien-être pour détenir un animal, mais aussi de donner enfin aux animaux le statut juridique de personnes non humaines.

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96 commentaires
Karine - Le 29/11/2024 à 20:50:36
URGENCE pour la Protection et le Respect des Animaux !!!
24 0
Claude - Le 29/11/2024 à 21:19:44
Un état (et ses représentants locaux) qui ne sont pas fichus de reconnaître les dangers de la prolifération si ce n’est avec des solutions archaïques, et qui sont donc incapables de choisir des solutions intelligentes et éthiques, sont parfaitement indignes de gouverner et de gérer quoi que ce soit
22 0
Le 29/11/2024 à 23:11:44
Pour la stérilisation de ces chats! Souffrance !
20 0
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