Au Decathlon Aurillac les poissons vendus comme “appâts vivants” sont pour nombre d’entre eux... MORTS ! Les cadavres sont agglutinés au fond du bassin ou flottent en surface. Les clients, dont des enfants, s’interrogent devant l’aquarium. C’est vrai qu’il y a de quoi être décontenancé de découvrir que Decathlon vend des animaux, de surcroît dans un tel état !
Se rendre à Decathlon et voir des poissons vendus pour la pêche au vif est insupportable. Pour cette technique de pêche, le pêcheur prend le poisson vivant comme appât : il lui transperce le dos ou la bouche avec un hameçon puis le balance à l’eau où il pourra agoniser des heures avant succomber à ses blessures ou à l’attaque d’un prédateur contre lequel il ne peut fuir. Nous qui adressons cette pétition au Decathlon d’Aurillac, nous ne comprenons pas comment il peut oser faire son commerce sur une pratique pareille ! Cette pratique est d’ailleurs interdite dans plusieurs pays étrangers du fait de sa cruauté et des risques qu’elle fait peser sur l’environnement et les poissons sauvages (transmission de maladies notamment).
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