Madame, Monsieur,
Lors de la discussion à l’Assemblée nationale du texte concernant la maltraitance des animaux de compagnie, les députés, emmenés par le parti LREM et le ministre de l’Agriculture, ont :
Le texte adopté offre des brèches juridiques très importantes. Il prévoit de sanctionner les images de sévices sexuels sur les animaux, plutôt que de sanctionner la zoo-pornographie. Les députés ont refusé de reconnaître comme sévices sexuels les agressions sexuelles dont sont victimes les animaux hors pénétration, qui constituent justement l’essentiel des images zoo-pornographiques.
Le Ministre de l’Agriculture a considéré qu’il ne fallait pas définir de manière large la notion de sévices sexuels sur les animaux de peur qu’on ne qualifie de sévices sexuels sur les animaux le fait de leur « caresser la crinière » !
D’où nos questions : les enfants n’ont-ils pas le droit d’être protégés de la zoo-pornographie ? Considérez-vous que la diffusion d’images de zoophilie est condamnable mais pas leur consultation ? Pour nous, la première étape de la zoophilie est la consultation des vidéos zoophiles. Considérez-vous que seule la pénétration des animaux est un sévice sexuel sur les animaux et non toutes les autres agressions sexuelles dont ils sont les victimes ?
Objectivement, la majorité des députés a agi en faveur des intérêts des zoophiles en refusant de sanctionner durement la zoophilie.
On ne pensait pas tomber aussi bas.
Au-delà de l’indignation exprimée, nous demandons d’urgence un durcissement du texte pour son passage devant le Sénat.
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