Je ne peux absolument pas accepter ce genre de pratique. Ci s'est autorisé après ils ne pourront plus dire non et oui à certains. Mais avec l'argent tout peut se faire . Oui j'ai peur pas pour moi '', c'est ce que l'on donnera aux générations suivantes. Et il sera trop tard.
Stop aux « usines à viande » qui menacent la santé publique, génèrent un charroi conséquent au détriment des villageois, polluent l’eau, l’air et la terre de nos villages agricoles, développent la maltraitance animale, participent à la production de GES, s’inscrivent dans un mode alimentaire déplorable et finissent par aliéner les exploitants également dans une spirale de crédits, croissance, profits et de dégradation de leur propre qualité de vie au point de vivre au milieu de leur exploitation, de ses odeurs nauséabondes et de ses déjections tels « Les Misérables » de Victor Hugo. Merci aux Élus du Collège communal et aux exploitants de se réveiller et de renoncer à des métiers nuisibles à l’humanité. Dorothée Guillaume
Je suis pour le bien être animal, pour une alimentation saine et durable et donc pour la préservation de la nature et le soin à notre terre. Tout ceci n’est pas compatible avec ce projet d’exploitation de poules à grande échelle.
- matraitance animal
- plus de risque de maladies ce qui engendre plus d'utilisation d'antibiotiques
- ces AB se retrouveront dans le sol et dans l'eau ce qui polluera les nappes phréatiques
- pollution visuele du paysage
- matraitance animal
- plus de risque de maladies ce qui engendre plus d'utilisation d'antibiotiques
- ces AB se retrouveront dans le sol et dans l'eau ce qui polluera les nappes phréatiques
- pollution visuele du paysage
- matraitance animal
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- ces AB se retrouveront dans le sol et dans l'eau ce qui polluera les nappes phréatiques
- pollution visuele du paysage
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- ces AB se retrouveront dans le sol et dans l'eau ce qui polluera les nappes phréatiques
- pollution visuele du paysage
Je pense réellement que ce type d’élevage est actuellement complètement révolu
Il est urgent de changer notre façon de vivre
Et cela sans aucun grief envers les demandeurs
Mon métier de médecin me pousse à respecter toute forme de vie, humaine, animale ou végétale et ce type d’élevage ne respecte pas la vie
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