Pétition
18
signatures
Encore 82 signatures pour que cette pétition ait plus de chances de devenir virale sur les réseaux sociaux.
Auteur :
Auteur(s) :
Sébastien Beauregard
Destinataire(s) :
France télévision Et Gouvernement Français
Bonjour ,
pétition à l'attention de tous ceux qui comme moi , trouvent
extrêmement choquant , que le corporatisme des journalistes
nous impose un tel matraquage médiatique pour défendre la
cause des deux journalistes otages en Afghanistan.
Certes leur cas est sinistre et regrettable !
Toutefois , que dirions nous si chaque corps de
métier agissait de même à chaque fois qu un professionnel
rencontre un problème dans l exercice de sa profession ?
En quoi les journalistes , fussent ils prisonniers des talibans ,
calent ils plus que tel ou tel ( routier victime d' accident de la
route , soldat mort au combat , pompier victime de son devoir
... Les exemples seraient nombreux !)
Alors je pose la question : Quand finirez vous par cesser de nous
imposer quotidiennement votre cause ?
En quoi êtes vous légitimes à nous imposer vos convictions quotidiennement
sur nos écrans de TV ?
Vos confréres ont fait preuve d' imprudence de mon point de vue . L armée
Française avait prévenu que ce territoire était dangereux !
Désormais nous subissons vos plaintes partisanes ( ils ne sont pas les seuls
à être victimes d' injustice sur Terre , votre condition de journalistes ne vous
autorise pas à nous prendre en otage pour partager et soutenir votre corporatisme )
plusieurs fois par jour à la TV et c est intolérable !
Pour que cesse cette situation de matraquage médiatique qui n'a que
trop duré . Pour que les journalistes français cessent de prendre ce type
de risques qui coûtent une fortune aux contribuables depuis un an.
Pour que l état français ne concède aux ennemis de l occident des faveurs
qui seront employées contre notre sécurité , notre paix :
signez cette pétition pour dire que les journalistes ne sont pas au dessus des
autres et , ne doivent pas se croire tout permis au prétexte de leur professionnalisme.