Non au remplacement des bas cotés qui bordent les routes par des « Caniveaux Fossés » extrêmement dangereux, voire mortels.
Cette disparition s'est faite progressivement, presque invisible. C'est en voyant un véhicule renversé dans un « Caniveau Fossé » que je me suis posé cette question.
"Ce qui aurait été autrefois un simple dérapage, devient maintenant un accident grave et peut être mortel."
Quel est le choix actuellement, pour un cycliste, un promeneur, un automobiliste qui veut éviter un véhicule qui vient en sens inverse en roulant un peut trop au milieu de la chaussée, ou même celui qui en sens inverse double sans pouvoir se rabattre ?
"Le choc frontal ou la chute dans le fossé ."
Où stationner en cas de crevaison pour changer son pneu, changer une ampoule.
Où s'arrêter en urgence ?
Il est devenu courant de faire plusieurs kilomètres sans rencontrer, une aire aussi petite soit-elle pour s'arrêter.
(si toutefois elle n 'est pas en contre bas, de la hauteur d 'un trottoir, car elle n'a pas été rehaussée lors du nouveau goudronnage de la chaussée.)
Pourquoi un simple dérapage devrait-il se transformer en accident grave, voire mortel.
La profondeur de ces « Caniveaux Fossés » dépasse souvent la profondeur d'un mètre !
Et dans la plupart des cas cette section n'est pas justifiée. Lorsqu'elle est justifiée, il est facile de la reporter plus loin de la route ou de l'enfouir dans des conduits d'évacuation, comme cela est fait lors de la création de pistes cyclables.
Exigeons le rétablissement du bas côté, « une bande d'arrêt d'urgence, même recouverte d'herbe », tout le long des routes, par une réglementation qui le rende obligatoire.
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