MONSIEUR LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE FRANCAISE monsieur Emmanuel MacronJ’ai l’honneur , de venir respectueusement par la présente solliciter votre haute bienveillance de bien vouloir intervenir devant l’injustice et l’inégalité imposées sur nous, les fils des Français nés a l’étranger, et les fils d’anciens combattants ayant acquis la nationalité Française. Cette injustice qui s’identifie sur divers articles injustes imposés par les administrations Françaises,Par exemple, alors qu’on peut acquérir la nationalité Française par divers moyens : naissance en France, mariage avec des français, ou même la résidence, ou la filiation : le délai de traitement des dossiers pour ceux qui sont nés en France et résident à l’étranger ne dépasse pas huit (08) mois, la même chose pour les demandeurs CNF par mariage ou résidence. En échange, le traitement des dossiers de ceux qui sont nés à l’étranger dépasse dans la plupart des cas –les 36 mois ?? Ce qui est injuste dans le pays de la justice. Ainsi que le problème de plusieurs articles RACISTES, qui s’appliquent aux demandeurs de C N F par filiation (fils de Français nés à l’étranger « surtout les Algériens » dont l’article 30.3 du code civil, on trouve 90% descas sur lesquels on applique cet article par le Greffier en Chef du service de la nationalité, leurs dossiers sont automatiquement refusés.Monsieur le président, je ne vous demande pas un traitement de faveur, je veux uniquement que la justice soit appliquée sur tous les dossiers de demande de C N F (toutes les tranches) par égalité. Aussi, j’espère votre prompte interventionconcernant l’article 30.3 du code civil, qui menace aujourd’hui les fils des français qui sont nés hors du territoire Français.Monsieur le président, Il ne faut jamais oublier vos enfants d’hier, car ils sont toujours les fils d’aujourd’hui et surement de demain …Monsieur le président, aidez nous, sauvez nous, rendez nous cette justice et égalité qui a fait la fierté de la France durant tous ces siècles.Dans l’attente d’une réponse que j’espère favorable, je vous prie de croire monsieur, en mon profond respect.
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