La politique d’accueil actuelle est un échec cuisant puisqu’elle a créé un « lumpen proleteriat » de plusieurs centaines de milliers de clandestins ballotés entre OQTF et cassation judiciaire de la décision administrative. Sans permis de travail, il leur faut bien survivre par le travail au noir ou les petits trafics. Accroître les risques de mise en rétention en attendant une expulsion, généralement impossible, accroît, en même temps la profondeur de la clandestinité pour le plus grand profit des organisations mafieuses. Face à ce fiasco, trois mesures permettraient de sortir de l’impasse :
La pratique de l’accueil-partage a l’intérêt de créer de la fraternité entre migrants et autochtones. En général les voisins des foyers hébergeant des migrants voient leurs a priori méfiant, sinon hostile, se transformer en bienveillance.
L’idée que les migrants trouvant du travail ôterait du travail aux autochtones est fausse comme on peut le voir dans plusieurs études sérieuses comme celle de La Tribune
https://www.latribune.fr/opinions/tribunes/l-impact-des-immigres-sur-le-chomage-611095.html
Favorisez la pratique de l'accueil partage
Donnez le droit aux grandes associations humanitaires de se porter garantes de l'hébergement des réfugies, migrants déboutés et SDF
Donnez le droit au travail aux migrants autorisés à résider en France
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