N'abandonnons pas nos petites écoles privées !

2 millions d’élèves et 210 000 enseignants et personnels : c'est ce que représentent les écoles catholiques en France.

Des chiffres éloquents qui ne doivent pas masquer la réalité : la situation des écoles catholiques est préoccupante. Elles doivent consacrer une part croissante de leurs ressources au fonctionnement quotidien, et ceci au détriment de leurs investissements, en particulier immobiliers.

Avec l’épidémie du Covid-19, les conséquences économiques et sociales de cette crise sanitaire sont terribles, surtout pour les plus petites et les plus fragiles. 
Sans moyens pour financer leur avenir, c’est la pérennité même de bon nombre d'entre elles qui est en cause, alors qu’elles participent à la mission d’intérêt général d’éducation de nos enfants et petits-enfants.

Malgré des conditions parfois très difficiles, les écoles catholiques ont, pendant le confinement en mars, assuré leur mission d’éducation en mettant en place une continuité pédagogique, en conservant le lien avec les élèves et les familles, et en accueillant les enfants des soignants.

Aujourd’hui, cette épidémie est toujours source d’inquiétude pour la situation financière des écoles catholiques et facteur d’incertitude pour leur avenir.

Alors, que faire ? Baisser les bras et voir ces écoles fermer les unes après les autres ? Demander toujours plus aux familles et se résigner à ce qu’elles soient réservées aux plus aisés ?

À la Fondation Saint Matthieu, reconnue d'utilité publique, nous pensons qu’il existe d’autres solutions. Nous agissons comme un outil de solidarité moderne et performant en réinventant l'entraide entre les générations.

Avec le projet « Territoire », nous venons en aide aux écoles fragiles : parce que nous sommes solidaires des petites écoles, nous mobilisons des ressources pour les écoles primaires isolées, en particulier rurales.

Ainsi, chaque année, une cinquantaine de petites écoles en difficulté bénéficient de nos aides d’urgence, comme l'école Saint Joseph de Charavines (Isère) qui a pu être remise aux normes et éviter la fermeture.

Notre motivation, c’est de pouvoir offrir aux familles de choisir librement l’enseignement qu’ils souhaitent pour leurs enfants. C’est aussi de pouvoir offrir aux enfants un lieu de travail accueillant, avec du matériel adapté à leur apprentissage, ouvert à tous et fondé sur les valeurs de l’Évangile.

Et pour recréer l’espérance au cœur d’une société sécularisée, où les écoles catholiques sont un lieu privilégié d’annonce de la Bonne Nouvelle, nous avons besoin de vous.

Témoignez-nous votre soutien à notre action en faveur des écoles catholiques en signant cette pétition ! Et si vous le voulez, laissez-nous un message !