Aidez mes enfants Alexandre et Mathis victimes d'un placement abusif
Pétition
Victoire de la pétition
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Auteur :
Auteur(s) :
Agasseau Marie-France
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Destinataire(s) :
M. le juge Jean-Pierre Boucher et de M. le Procureur de la République de Poitiers
Victoire
La pétition
Bonjour à toutes et à tous,
Je tiens tout d'abord à vous remercier pour tous vos soutiens et je vous fait part que nous avons atteint la victoire !
J'ai récupéré la garde totale de mes enfants et grâce à cette pétition, je me suis sentie soutenue. J'ai pu démontrer que je ne suis pas la personne décrite par les services sociaux.
Cela a mis un certain temps, mais nous avons été plus que victorieux et nous profitons désormais de notre famille.
Il est difficile de décrire toutes les batailles en quelques lignes mais soyez en sûrs, que je me suis battu bec et ongle.
Un grand merci à toutes et à tous, je souhaite à toutes celles et ceux qui vivent ou ont vécu cette épreuve de garder espoir et de se battre de toutes vos forces !
Je vous écrit afin de dénoncer le placement abusif de mes enfants Agasseau Alexandre et Mathis âgés de 9 et 3 ans par le juge des enfants Jean-Pierre Boucher, Président du Conseil lors de l'audience du 9 juin 2011 tenu au tribunal des enfants à Poitiers.
Tout a commencé lors du signalement de l'école Alphonse Bouloux à Beaulieu pour absence répétée. Or, si mon fils ne pouvait se rendre en classe c'est que nous avions déménagé à cause de ma séparation avec le père de mon fils Mathis.
Le 06/01/2010, la directrice de cet établissement n'a pas cherché à connaître les raisons de ceci. Quand je me suis rendue à l'établissement, je lui ai exposé les faits mais elle n'a pas voulu retirer sa plainte donc l'affaire est arrivée sur le bureau du juge des enfants qui m'a convoqué. Un rendez-vous auquel je ne pouvais me rendre du fait que j'étais malade.
J'ai donc appelé le greffe pour lui signifier cela pourtant cela ne l'a pas empêché de statuer et d'ordonner une enquête sociale qui sera dirigée par Mme Sapin du PRISM pendant une durée de 6 mois.
Mme Sapin s'est présentée à mon domicile trois fois en 6 mois, a posé toutes sortes de question (comment cela se passe avec mes enfants, quelles sont les solutions que je souhaiterai envisager pour le bien-être de mon fils Alexandre car votre enfant est en difficulté vu son comportement à l'école etc...).
J'ai demandé à ce que mon fils puisse bénéficier d'un établissement scolaire en internat la semaine et rentrer le week-end pour faciliter un encadrement plus adapté que l'école qu'il fréquente actuellement.
Les faits ont été déclarés devant témoin, ma belle-sœur Mlle Balducci Aline, et son conjoint M. Micoyne Adrien. Or, cette dernière dans son rapport a évoqué que je souhaitais que mon fils soit placé en famille d'accueil que je n'ai pas de relation affective avec les enfants, que mes animaux représentent un risque sanitaire, que mon fils de 9 ans est livré à lui-même. Des propos déformés et diffamatoires, je peux vous dire que toutes les personnes qui me connaissent peuvent en attester, je suis une excellente mère.
Mme Sapin souhaitait un entretien avec mon conjoint M. Balducci. Nous lui avons proposé le 6 MAI 2011, sachez que l'assistante sociale ne s'est pas présentée au rendez-vous et nous avons attendu toute l'après midi, celle-ci n'a donné aucun signe de vie, pas un mail, ni coup de téléphone pour s'en excuser.
Puis, je reçois une convocation du tribunal pour une audience qui aura lieu le 09 juin 2011 à 9h30.
Mon conjoint et moi-même accompagnée de mes enfants Alexandre et Mathis sommes aller à l'audience. Je ne vous dis même pas comment nous avons été reçus, comme des repris de justice. Mon fils Alexandre a été entendu séparément puis vient mon tour, j'ai demandé à ce que mon conjoint puisse assister à l' audience mais le juge a refusé et cela m'a mise dans une colère terrible car j' avais déjà la veille subit une chose effroyable. J'ai assisté à la crémation de la fille de ma belle-sœur et je n'avais pas fermé l’œil de la nuit donc je me trouvais dans un état d'anxiété épouvantable et me rendre compte que la justice se foutait pas mal de mes droits cela m'étais vraiment insupportable et je ne souhaitais pas assister à cette mascarade.
Mais mon conjoint m'a rassuré et me persuada d'entendre le juge.
Dans le bureau du juge, j' ai eu droit à que du mépris du genre, je n' ai pas de relation avec mes enfants que je ne suis pas la mère adaptée pour eux que mes animaux représentent un danger sanitaire.
Victoire de la pétition
59 signatures
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Aidez mes enfants Alexandre et Mathis victimes d'un placement abusif
moi je pense que les assitante sociale font mal leur travaille et place les enfant trop facilement alors que aucun danger exite
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Christelle - Le 13/09/2011 à 20:36:48
J'ai osé porter plainte à l'encontre de mon mari suite à des violences conjugales et viols afin de me protéger ainsi que mes filles. Quelle grosse erreur, malgré tout ce que l'on peut entendre.La justice pénale m'a effectivement reconnue en tant que victime, mais d'un point de vue familiale, j'en paie le prix fort, on me rend responsable de l'incarcération du père de mes enfants sous prétexte qu'il a payé sa dette à la société et qu'il continue par son travail à se reinsérer. Mon calvaire dure depuis six ans, six ans de procédure judiciaire, de harcèlement et de privation. Au bout du rouleau, j'ai quitté un travail, ma famille et une ville que j'aimais afin de me mettre à l'abri sans succès. Je suis harcelée psychiquement et financièrement, dans l'impunité la plus totale.
Pour avoir osé dénoncer des agissements qui me paraissaient peu corrects de la part d'un père vis à vis des enfants, j'ai demandé de l'aide au juge des enfants. Grossière erreur là encore, une AEMO a été mise en place, qui a duré 3 ans. En avril dernier, les conflits entre mon ex et moi ayant été jugés trop importants, l'éducatrice en charge de l'AEMO a décidé un placement en foyer pour 6 mois. On m'a accusé de manipuler mes enfants, de les mettre en danger, alors que mon seul but était de les protéger. J'ai été traitée pire qu'une criminelle. Mes deux petites filles ne manquaient de rien, étaient aimées, je m'en occupais, bref j'étais une maman.
Durant leur placement, il ne m'est accordé qu'une heure de visite par semaine, on me punit et me prive de mon rôle de maman et de mes filles. La mesure devait
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Laure - Le 08/06/2016 à 21:48:30
je signe cette petition car je vie ce cauchemars avec mes de filles placer en charente depuis 2007 bon courage a vous et ne baisser pas les bras