Aidons ! Soutenons ! Thierry Salingue dans son combat pour sa fille Léonie.
En effet, mon frère de cœur, mon ami est sous le joug de la justice mexicaine qui veut le déchoir de son autorité parentale.
Thierry a vécu de longues et belles années au Mexique auprès de son épouse de sa fille.
Hélas, la séparation fait écrouler ce bonheur. De retour en France, il n'a que de rares contacts avec sa fille qu'il aime tant et qui lui manque beaucoup.
Au Mexique, une mère possède de nombreux droits sur son enfant.
Comment peut-on, en 2016, séparer un père de son enfant ?
Que Thierry soit ou non votre ami, si vous vous sentez concerné par ce combat.
Je vous demande de signer cette pétition et de la transmettre à tous vos contacts !
Tous ensemble pour Léonie et Thierry !
Voici son histoire :
J’ai vécu au Mexique de 2005 à 2013 et je suis le papa de Léonie qui est née dans ce pays le 14 octobre 2007. Sa maman est mexicaine et nous nous sommes séparés en 2010. Léonie a la double nationalité Franco-Mexicaine.
Je suis venu une première fois en France avec ma fille à l’été 2010 et les choses se sont merveilleusement bien passées. Léonie a rencontré sa famille française et elle avait le sourire du matin au soir, et du soir au matin.
Nous sommes venus une deuxième fois pour l’anniversaire de sa grand-mère Mamichelle et pour noël en décembre 2011. Et les choses se sont passées tout aussi merveilleusement.
Nous sommes venus une troisième fois en France pour les vacances d’été 2013 et l’intensité du bonheur de Léonie n’avait pas faibli.
Par contre, la relation entre sa mère et moi avait atteint un point de non retour. Ce qui me poussa à rester en France avec ma fille. Léonie était inscrite en CP, étant de fait scolarisée pour la première fois dans une école de la République Française. Au bout de 3 mois, Léonie savait déjà lire et écrire et elle était, selon son instituteur, un modèle et un exemple pour ses camarades de classe. Tout ça pour dire que ma fille Léonie s’était adaptée et intégrée très vite.
Suite à une décision hâtive de la justice française du 25 novembre 2013, Léonie a dû rentrer au Mexique avec sa mère. Je n’ai pu communiquer avec ma fille sur Skype que 4 ou 5 fois depuis cette date, et je n’ai plus aucune nouvelle depuis le 2 janvier 2015.
J’ai envoyé des dizaines de courriers électroniques à sa mère sans jamais obtenir de réponse.
J’ai sollicité l’aide de l’ambassade de France au Mexique qui m’a gentiment fait comprendre qu’ils ne pouvaient pas y faire grand-chose, dans le mépris le plus total de la double nationalité de ma fille qui est elle aussi une citoyenne Française.
Je viens de me rendre à une convocation de la Police Nationale Française, au cours de laquelle il m’a été remis un document officiel de la justice mexicaine dans lequel la mère de ma fille sollicite la déchéance de mon autorité parentale. Cette demande est justifiée par une liste d’allégations mensongères et d’inepties insupportables.
Il ne s’agit même pas d’une convocation à une audience où tout accusé est en droit de pouvoir se défendre. La justice mexicaine pourrait donc prendre une décision lourde de conséquence pour l’avenir d’un enfant sans même donner à son père l’occasion de donner sa version des faits. De quelle sorte de justice parle-t-on là ?
Je ne suis pas un père parfait, car personne n’est parfait. Mais je suis un bon père, et je l’ai toujours été. Nombreuses et nombreux sont celles et ceux qui ont pu le constater.
Et je réclame que mon droit de père soit respecté.
Vous êtes sûr ? Votre mobilisation est importante pour que les pétitions atteignent la victoire !
Sachez que vous pouvez vous désinscrire dès que vous le souhaitez.