Je suis dans le même cas que vous. Il n’y a pas eu de meurtre mais nous avons été abandonné, battu, maltraité et humilié par notre mère. Nous sommes démuni face à la demande de cette aide de droit d’ alimentation.
Protégeons les enfants à vie, de toute chose grave faite par nos pères ou mères , même lorsque les enfants deviennent et qu'ils ne paient leurs erreurs graves, une condamnation pénale d'un parent ne devrait plus avoir de droit parental et les enfants de même avec leurs parents
Je suis dans le même cas, on m’avais dit qu’avec mon dossier de L’ASE je ne devrais rien pour mes parents. Donc j’aimerais vraiment soutenir cela pour qu’on soit protégé il devrais y avoir une lois
Les enfants gardent tout en mémoire, les coups, les humiliations, les denigrements, les gifles, les mariages forcés, les insultes, les marques des coups de ceinture, l'enfance abusée, les bruits des chaussures du père, la mère non protectrice, agressive, complice, violente, les peurs, les nuits d,énurésie..les rejets d'une mère, et tout et tout.. et un jour on devrait oublier ? Et payer pour ce parent qui a fait tant souffrir son enfant ? Et qui refuse de le revoir ? Jusqu où irons nous au nom du principe d obligation alimentaire à ces parents là ?
Déchoir des droits parentaux systématiquement après une maltraitance grave avérée et fichier pour régime spécifique en matière d'aides sociales pour ces gens là
Je veux que tous les géniteurs qui ont été violents (physiquement et/ou psychologiquement et/ou sexuellement) avec leur compagne et/ou leur(s) enfant(s) perdent obligatoirement leur autorité parentale totale et définitive, et qu'ils n'aient plus le droit de les approcher, et aussi que les enfants n'aient jamais à payer pour un géniteur toxique, maltraitant ou absent et qu'ils puissent remplacer le nom de ce dernier pour prendre celui de leur mère automatiquement
Enfant de divorcés.
Mon père a refait sa vie et a souvent oublié qu'il avait eu un 1er enfant; la pension alimentaire était un détail superficiel qui n'était pas sa priorité, je n'avais pas souvent d'appel, ni pour des nouvelles ni pour mon anniversaire. Il était trop occupé avec sa nouvelle femme et son 2e enfant. Puis il y a eu divorce aussi, et cet enfant a pris un autre nom de famille; mon père n'avait plus de droits légaux sur lui.
Si mon père n'était pas décédé il y a quelques années, j'aurais été la seule à qui on aurait réclamé de payer les factures d'Ehpad ou autre établissement, et ça me rendait malade d'y penser.
La première réaction que j'ai eue quand on m'a appris son décès a été le soulagement. C'était officiellement mon père, mais il n'a été qu'un géniteur au final. Je ne connais même pas sa date de naissance, il ne se rappelait pas assez souvent de la mienne...
Même s'il n'y avait pas violence à proprement parler, le sentiment de rejet et d'oubli n'est pas anodin quand on grandit.
Et devenu adulte, devoir s'occuper d'un parent qui ne s'est pas occupé de vous est ressenti comme une injustice.
J'aurais aimé pouvoir être soutenue si la situation ne s'était pas réglée d'elle-même.
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