Il y a tant d'agressions au sein des écoles que les filles d'aujourd'hui rejettent totalement leur sexe féminin, au point de passer le cap de la mammectomie et de l'ablation des seins dès l'adolescence.
Le mouvement Metoo a réveillé les consciences féministes. Plus encore, cela a montré du doigt le problème majeur de notre société : sa violence quotidienne.
L'agressivité, la méchanceté, le harcèlement, la haine sont banalisés partout ,au travail, à l'école, sur internet, dans les films, les romans. Mais à l'école, c'est d'autant plus dangereux que cela touche les enfants, ces êtres en formation, fragilisés par ces traumatismes inutiles.
L'école n'est plus un lieu de savoir. Ce n'est plus une micro-société où l'on apprend à vivre avec les autres, selon des règles de vie commune. Les professeurs se font agresser par les élèves, les élèves se maltraitent entre eux. L'école est devenue un nid à délinquants.
Les filles du 21e siècle vivent constamment dans la peur des garçons. L'absence d'éducation morale qui caractérise notre société engendre des monstres qui voient dans l'autre, non un "prochain" mais une "proie". Les réseaux sociaux, dont sont si friands les esprits malades, influencent énormément le comportement des jeunes, enfants et adolescents. La puberté aidant, les hormones décuplent la recherche de domination. Ce sont les filles qui en font le plus les frais.
Il n'y a plus de galanterie. On ne respecte plus la pudeur féminine. D'ailleurs, on ne veut plus entendre parler de "filles", c'est devenu trop has been en regard de la théorie du genre qui n'a pas sa place dans les écoles.
La mixité fille-garçon n'est possible que si on inculque le respect aux enfants. Or, le laxisme parental est tel qu'on ne peut plus compter sur la famille pour apprendre les règles de civilité. L'école est devenue inexistante quant à l'apprentissage de l'éducation civique. On pousse les jeunes sur les réseaux sociaux parce que personne ne daigne s'occuper d'eux.
Et si la solution était tout simplement de revenir aux écoles de filles d'un côté et aux écoles de garçons de l'autre ?
Cela permettrait aux filles de grandir en sécurité, loin des garçons agressifs, violents et cruels qui les incitent à nier leur féminité à force de les terroriser par le harcèlement, le mépris quotidien, les abus sexuels. Les agressions sont l'urgence à régler, car elles génèrent une honte si profonde chez les filles qu'elles les poussent volontairement au suicide physique ou moral (déni de soi).
Devant l'incapacité parentale et scolaire à faire face aux multiples et récurrentes formes d'agressions, il serait temps de renouer avec la non-mixité fille-garçon comme garantie de protection et de sécurité de nos filles.
Non, les filles ne sont pas des objets, alors protégeons-les.
Je demande à ce qu'un projet de loi soit étudié en faveur des écoles non-mixtes.
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