L’OMS reconnait une efficacité limitée voire nulle des masques sous certaines conditions
L’OMS reconnait une efficacité limitée des masques chirurgicaux, en particulier chez les enfants âgés de 6 à 11 ans dans la mesure où dès que la manipulation du masque est imparfaite (exemple : un simple contact avec la main pour réajuster le masque), celui-ci est contaminé et l’efficacité de ce dernier est invalidée (1).
Dans ce même rapport, l’OMS reconnait que, si les utilisateurs cessent, même succinctement, l’usage des gestes barrières (hautement probable en milieu scolaire), le masque ne prévient absolument plus de la propagation du virus.
Les masques chirurgicaux filtrent des particules de taille bien supérieure aux virus
Les masques chirurgicaux doivent répondre à la norme EN14683 (2) qui exige une efficacité contre une contamination bactérienne soit des particules de taille nettement supérieure à la taille d’un virus. La propagation de gouttelettes est donc freinée mais la traversée du masque par les virus reste possible, notamment par dépôt de ce virus lorsque l’on touche le masque.
Aucun impact sur les courbes épidémiques
Des premières données concernant l’utilisation de masques en pleine épidémie ont montré une inefficacité de ceux-ci à réduire les courbes (3).
Le Centre Européen de Prévention et de Contrôle des Maladies reconnait que les études d’efficacité concernant l’usage du masque ont essentiellement été effectuées lors d’épidémies de grippes (Influenza) et n’ont montré que très peu de preuves d’utilité du port généralisé du masque lors de ces épidémies (4).
Les enfants ne sont pas en danger et ne présentent pas de danger pour les autres
Dans un rapport récemment mis à jour chez nos voisins français, la Société Française de Pédiatrie (5) souligne que les enfants, en particulier de moins de 10 ans, sont très peu contaminants, ne génèrent pratiquement pas de clusters et ne développent la majorité du temps que des formes asymptomatiques du SARS-Cov2.
Le journal scientifique The Lancet a publié une étude réalisée durant la première vague de SARS-Cov2 en Australie dans l’état du New South Wales (1,8 millions d’enfants de <18 ans), s’étendant du 25 janvier 2020 au premier mai 2020, pendant laquelle les écoles sont restées ouvertes. Cette étude révèle que les enfants (<18 ans) vivant dans cet état d’Australie n’ont été que faiblement impactés par le SARS-Cov2, alors que directement exposés et n’ont représenté que 3,2 % des cas positifs avec très peu de contaminations secondaires en découlant (6).
Les enfants sont en contact indirect avec un grand nombre d’autres enfants et adultes
Un enfant, dans l’hypothèse où il porterait un masque tout au long de la journée, en manipulant celui-ci de manière parfaite et stérile (hautement improbable) et qui respecterait les gestes barrières dans et hors de la classe (couloirs, cours de récréation, sas d’entrée...) sera inévitablement en contact indirect avec de nombreux autres enfants et adultes, par l’intermédiaire notamment des frères et sœurs une fois en dehors de l’école.
Le port du masque chez l’enfant comporte des risques
Dans un rapport de juin 2020 (7), l’OMS reconnait que le port du masque chez l’enfant présente les risques suivants :
- Autocontamination due à la manipulation du masque par des mains non stériles
- Lésions cutanées faciales dont des dermites irritantes
- Inconfort général (sensation de difficulté respiratoire, maux de tête...)
- Fausse impression de sécurité impactant les gestes barrières
La Société Française de Pédiatrie souligne en outre que les enfants de 6 à 11 ans portant le masque à l’école peuvent présenter des problèmes de développement psycho-sociaux (5).
Certains psychothérapeutes alertent également sur le stress, l’angoisse et le sentiment de culpabilité que peuvent générer le port chez l’enfant, ce qui entrave de façon très préoccupante la faculté d’apprentissage et de mémorisation (8).
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