Nous, enseignants artistiques du CENTRE CULTUREL ROBERT LOYSON en piano, chant, saxophone, guitare et aquarelle, étions jusqu’alors des contractuels de droit privé au sein de la ville du Moule et ceci depuis 20 ans et plus. Nous avons contribué à la réputation du Centre grâce à notre sérieux, à la qualité de notre enseignement et à notre dévouement à la population, malgré des conditions précaires.
Cette ancienneté aurait dû nous conférer le droit à l'intégration au même titre que des agents titulaires normalement au bout de 6 ans.
Un nouveau contrat nous a été proposé en septembre 2018 avec obligation d’acceptation sous un mois sous peine d’être licencié en cas de refus.
Nous nous en sommes remis à la sagesse du juge administratif pour refuser ou accepter définitivement le contrat et attendons toujours sa décision en procédure de fond.
La commune et les ressources humaines ont interprété notre recours au tribunal comme un refus et nous a licencié sans même un entretien préalable.
Sa précipitation et ses pressions pour se faire montrent clairement que sa volonté de nous licencier existait déjà.
Ce contrat ne respectait aucune des prérogatives concernant :
Ce traitement discriminatoire ne permettait pas de récupérer les droits et avantages que nous n’avons jamais eu depuis la municipalisation de l’OMACS (en 2004), ni la totalité des années d’exercices, ni même le REALITE de nos missions.
NOTRE TRAVAIL A ETE DEVALORISE et LES ADHERENTS DECONSIDERES
Ce contrat comptant de nombreuses anomalies, bafoue nos droits fondamentaux au regard du travail culturel, social et pédagogique effectué auprès de la population Moulienne et du Nord Grande Terre.
Nous demandons réintégration dans nos fonctions avec la régularisation de nos droits.
LA CULTURE EST ENCORE CONSIDEREE COMME QUANTITE NEGLIGEABLE,
ET LA POPULATION PRISE EN OTAGE PAR LES AUTORITES PUBLIQUES.
Vous êtes sûr ? Votre mobilisation est importante pour que les pétitions atteignent la victoire !
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