La directrice du centre de loisir viole les droits ci-dessous.
Par la présente je vous interpelle sur le l'attitude et le comportement de la Responsable Éducative Ville de Paris nommée au choix et non pas par concours qui exerce à l'école située 60 rue renée Binet 75018 Paris depuis maintenant 7 ans.
En effet, elle a été extrêmement violente envers des parents d'élèves et une maman en particulier aurait reçu un coup de poing au visage et a eu le nez fracturé en septembre dernier par cette personne.
Elle exerce une pression morale sur les enfants et sur certains parents fragiles depuis des années. Des préjugés sociaux assez fort poussent cette personne à faire des rapports en se basant sur les classes sociales les plus basses ainsi que l'apparence.
Des punitions répétitives sont infligées aux enfants lors des repas de cantine "souvent les mêmes enfants" et surtout il s'agit de punition extrêmement dégradante pour un enfant, comme le punir pendant le moment du repas devant ses camarades qui ricanent et le privant de récréation. (témoignage).
Elle n'a pas de pédagogie avec les enfants, on retrouve constamment des enfants sous le préau assis contre le mur pendant des heures, elle hurle sur les enfants quotidiennement, plusieurs sms stipulent je la cite "je me torche avec les projets des enfants", "je donne les affaires scolaires aux roumains" (sms à l'appui).
J'ai alerté de 2012 à 2015 la préfecture, la mairie, les services sociaux concernant les dérives du centre de loisirs. Aujourd'hui de nombreux éléments confirment mes doutes et ceux de beaucoup de parents.
Nous sommes dans un quartier extrêmement difficile, pour certains enfants l'école est un refuge. Des dérives prolifèrent, une inspectrice atelier bleu de la Ville de Paris a été jetée dehors avec ses affaires sans raisons (photos à l'appui).
Cette école est en zone d'éducation prioritaire, il faut noter qu'après les travaux elle a ouvert sans eau potable en septembre en 2012 cela a fragilisé de nombreux parents, des chips à la cantine pour repas, l'année dernière un accident grave à eu lieu à la piscine, le comportement des animateurs odieux et irrespectueux, l'accès de l'école interdit à certains parents.
Tout ceci s'avère extrêmement contraire à l'éthique de l'école.
L'équipe enseignante est mise hors de cause, nous avons une équipe compétente depuis des années les enfants ne se plaignent jamais des instituteurs.
Je demande une action immédiate dans l'intérêt des enfants et des parents.
JAMILA KADDOUR
PRÉSIDENTE DE L'ASSOCIATION DE QUARTIER
SAUVE UN ENFANT AVEC 1 EURO
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Les droits de l'enfant stipulent :
RAPPEL :
Conformément à l'article L. 111-4 du code de l’éducation, les parents d'élèves sont membres de la communauté éducative.
La circulaire n°2006-137 du 25 août 2006 relative au rôle de la place des parents à l'école précise que "la régularité et la qualité des relations construites avec les parents constituent en élément déterminant dans l'accomplissement de la mission confiée au service public de l'Education. L'obligation faite à l'état de garantir l'action éducative des familles requiert de soutenir et renforcer le partenariat nécessaire entre l'institution scolaires et les parents d'élèves légalement responsable de l'éducation de leurs enfants".
La convention internationale des droits de l'enfant également précise :
54 articles énonçant notamment: (Cf. Unicef)
Le droit d’avoir un nom, une nationalité, une identité
Le droit d’être soigné, protégé des maladies, d’avoir une alimentation suffisante et équilibrée
Le droit d’aller à l’école
Le droit d’être protégé de la violence, de la maltraitance et de toute forme d’abus et d’exploitation
Le droit d’être protégé contre toutes formes de discrimination
Le droit de ne pas faire la guerre, ni la subir
Le droit d’avoir un refuge, d’être secouru, et d’avoir des conditions de vie décentes
Le droit de jouer et d’avoir des loisirs
Le droit à la liberté d’information, d’expression et de participation
Le droit d’avoir une famille, d’être entouré et aimé
4 principes fondamentaux: (Cf. Unicef)
La non-discrimination
L’intérêt supérieur de l’enfant
Le droit de vivre, survivre, se développer
Le respect des opinions de l’enfant
Depuis le 6 septembre 1990, cette convention est applicable en France.
Extrait : Article 3
1. Dans toutes les décisions qui concernent les enfants, qu’elles soient le fait des institutions publiques ou privées de protection sociale, des tribunaux, des autorités administratives ou des organes législatifs, l’intérêt supérieur de l’enfant doit être une considération primordiale.
Les Etats parties veillent à ce que le fonctionnement des institutions, services et établissements qui ont la charge des enfants et assurent leur protection soit conforme aux normes fixées par les autorités compétentes, particulièrement dans le domaine de la sécurité et de la santé et en ce qui concerne le nombre et la compétence de leur personnel ainsi que l’existence d’un contrôle approprié.
Article 16
1. Nul enfant ne fera l’objet d’immixtions arbitraires ou illégales dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance, ni d’atteintes illégales à son honneur et à sa réputation.
2. L’enfant a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes.
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