Cette pétition doit rester diffusée en témoignage du fléau de rafles d’enfants en France, qui s’est accentué à partir de 2002 afin de fournir certains réseaux.
La petite Christelle ne cesse de réclamer à revenir avec sa maman dans sa maison natale d’où elle a été brutalement arrachée le 27 mai 2004 à l’âge de 4 ans et demi, suite à un jugement de divorce mensonger et diffamatoire pour être remise entre les griffes du parent condamné à 4 mois de prison avec sursis pour violences répétées, policier de son état, diagnostiqué comme dangereux pervers narcissique manipulateur sujet à des crises de folie avec menaces de mort et violences matérielles. Des policiers ont été témoins, lors de leurs nombreuses interventions, de coups violents sur la mère et l’enfant.
Le 12 juin 2001, après avoir volé les économies de sa victime, l’agresseur partait de force du domicile entre 3 policiers, et coupait tous les vivres et les contrats de la maison. Durant 3 ans il ne voyait l’enfant qu’à un point-rencontre, vu sa dangerosité et ses aveux de troubles psychiatriques devant les juges correctionnels (« bourdonnements d’oreilles, perte de connaissance et violence incontrôlée » sic).
Le soir de son départ, un commandant de police à la réputation sulfureuse rend une visite-surprise à la maman pour la menacer « de lui faire enlever son enfant par un juge de ses connaissances, si elle maintient ses plaintes pour violences ».
Ces menaces furent appliquées en 2004 (LeCorre & P.Pérard) sans tenir aucun compte du rapport social décrivant les capacités maternelles et le bien-être de l’enfant, qui désormais ne la voyait plus que 4 jours par mois.
Dès lors, les violences se sont reportées sur Christelle devenue souffre-douleur par vengeance d’un fou. Pendant ce temps, ces « juges » montaient en grade comme convenu avec le commandant car il s’agissait d’échanges de services.
Consciente d’être en danger mortel et dès qu’elle a su écrire, Christelle n’a cessé de couvrir de dénonciations des pages et des pages – qui seront diffusées sur la toile – de ses horribles maltraitances et violences chez ce tortionnaire sadique. A Bordeaux, lui et ses parents n’ont pas hésité à l’enfermer dans une cave noire et à l’attacher sur une chaise les mains derrière le dos avec de multiples coups sur la tête et le corps, lui raser les cheveux, l’humilier et l’insulter constamment, comme le révèlent les auditions filmées.
Malgré les signalements des écoles (coups, maltraitances, négligences, carences graves), les nombreux certificats médicaux, les ITT jusqu’à 10 jours, les témoignages de toutes parts, les plaintes et auditions multiples, les expertises et rapports sociaux ordonnant la restitution de la garde à la mère, aucun magistrat n’a changé la situation ni ordonné de mesures de protection d’urgence. L’agresseur joulin les traite de marionnettes "à qui il fait écrire ce qu’il veut" grâce à son réseau de corruption. Les dossiers disparaissent mystérieusement, de même que les plaintes pour récidives de violences sur la maman, révélant un véritable trafic d’influences.
Des personnalités locales lui confirmeront « qu’il y a un réseau de ripoux dans la région ».
Le pervers ripou, interdisant tout contact téléphonique entre elles et se servant de Christelle comme otage, tente ensuite de la marchander contre les meubles, l’argent de la maison, puis en avril 2009 contre 100.000 euros par écrit !
Pour tenter de mettre la maman en prison, ce dangereux psychopathe a déposé de multiples plaintes abusives et fabriqué des faux dossiers correctionnels avec l’aide de ses collègues corrompus de Moissy77 qui ont agi en terroristes sous ses directives. Ainsi, victime de violences une seconde fois par ceux qui sont censés arrêter les coupables, elle a subi un harcèlement de convocations, jusqu’à enfoncement de sa porte, mise à sac de sa maison, cambriolages, enfermements arbitraires avec tortures, menaces de coups si elle ne signait pas des faux PV, privations de nourriture et d’eau, de médicaments, et de tous ses droits fondamentaux y.c. absence d’avocat. Au final les violences des ripoux l’ont rendue handicapée à 79 % selon la MDPH.
En décembre 2007 ils pointent leur arme sur l'enfant Christelle et sa mère en hurlant "JE TIRE" après être entrés par effraction à coups de massue alors qu’elles étaient malades. La CNDS reconnaîtra les abus de pouvoirs et enverra son avertissement au Garde des Sceaux pour cause de refus de communication des dossiers par les procureurs, prouvant qu’ils étaient de mèche avec les méthodes frauduleuses visant à salir le casier judiciaire d'un innocent. La CNDS subira ensuite des pressions de 2 ripoux de l'Intérieur pour ne sanctionner personne. Au lieu de révoquer l'agresseur qui devrait être en prison depuis longtemps, il est renvoyé de Brunoy et muté au Raincy en 2008, avec perte de son habilitation OPJ. On apprendra à ce moment qu'il est utilisé en tant que psychopathe par des réseaux criminels en échanges de services.
En septembre 2008 son déménagement éloigne davantage Christelle. Elle est en outre coupée de sa maman durant de longues périodes avec plusieurs NPE, sous le nez des gendarmes de Louvres et Roissy qui, réceptionnant les plaintes sans les transmettre au parquet, ne feront rien. Certains d’entre eux cautionnent les violences et serrent la main de l’agresseur après avoir constaté les traces de coups sur enfant !
Christelle continue à couvrir ses cahiers scolaires d’inscriptions « JE VEUX REVENIR AVEC MAMAN » et refuse de travailler. L’agresseur poursuit ses crises de folie, n’arrivant pas à la forcer à écrire contre sa mère, jette ses jouets par la fenêtre et à la poubelle, la prive de nourriture, de bains, lui refuse des soins médicaux, l'abandonne seule dans la rue, ou même la transporte dans son coffre sur l’autoroute. Traitée de façon inhumaine, elle fait des cauchemars et se dessine en prison ou même assassinée. Elle va jusqu’à souhaiter la mort de son géniteur.
Toutes les procédures, civiles ou pénales, sont truquées et susceptibles de nullité. Les audiences sont reportées indéfiniment. Tout est fait pour prolonger le calvaire de l'enfant. Les "juges" l'ont auditionnée plusieurs fois, se sont moqués d’elle, ont rejeté les témoins prévus par la loi, puis font croire qu'ils n'ont rien entendu en termes de maltraitances. Ils s'obstinent à rejeter aussi le dossier très gênant et les conclusions de la maman imperturbable.
Le pervers se vante partout que "toutes ses procédures sont payées par le Ministère de l'Intérieur". C'est-à-dire que le gouvernement soutient un agresseur conjugal et paye son harcèlement depuis +10 ans, aux frais du contribuable !
En janvier 2012 le réseau de ripoux-voleurs-d’enfants décide de tuer la maman par empoisonnement, en la convoquant en même temps qu’un complice « médecin » véreux de Meaux qui écrit un faux certificat d’internement en 3 lignes après avoir évoqué sa religion catholique et la médaille miraculeuse de la Vierge qu’elle porte, pour appliquer les menaces de leur notaire corrompu visant la spoliation de sa maison. Huit jours après, la mainlevée est ordonnée en urgence par le juge des libertés qui constate sa bonne santé mentale et les abus. En outre la maman de Christelle est membre MENSA avec des facultés supérieures de résilience : ses ennemis le savent et ont voulu lui détruire le cerveau.
Le 22 mars 2013, après plusieurs violences sur Christelle avec traces de coups et ITT suivies de plaintes, le dangereux PN demande à une certaine « Rinaldis juge d’enfant » à Pontoise de couper totalement Christelle de sa maman, et un jugement délirant en ressort sous sa dictée, au lieu de protéger l'enfant en danger chez un malade. Dès avril Christelle renforçait sa grève « de la copie blanche » au collège. Le 1er Président de C.A. saisi de toute urgence annule en juin ce faux jugement et rétablit les DVH. Le pervers dépité refuse alors sa moitié de vacances d’été 2013 puis fait écrire à la même écervelée un « jugement de placement abusif » pour se débarrasser de ce paquet encombrant dans un « foyer SS » situé à l’opposé de la maman, plus déterminée que jamais à sauver Christelle... Kidnapping-surprise par l’ASE à la rentrée 2013, en toute illégalité et sans notification de jugement. S’ensuit un combat acharné de la maman contre des SS menteurs et pervers, qui sera diffusé pour aider les autres parents. Quelques mois plus tard, sans aucun avocat pour éviter que les magouilles recommencent, elle saisit le JAF en référé, puis le JDE de Pontoise, qui après concertation lui rendent enfin la garde de Christelle. Les DVH de l’agresseur sont réduits à un week-end par mois, avec pension alimentaire. Il refuse alors de venir la chercher et de payer la P.A. tout en faisant appel, en vain car les CA confirmeront. Il sera ensuite condamné par le TC pour abandon de famille.
Depuis son retour, Christelle va parfaitement bien et réussit ses années scolaires.
Cependant, dès 2016 et avec la complicité d’avocats véreux et de son notaire de BCR connu comme spoliateur, le pervers diabolique harcèle à nouveau la maman de plusieurs procédures de vente aux enchères avec « expulsion en 1 mois » au TGI de Melun, alors qu’elle vient de régler seule les emprunts et propose un rachat de soulte… S’ensuivent des procédures truquées, sans convocation en audience, sans le dossier des vrais comptes, et deux juges corrompues écriront successivement deux faux jugement à l’insu des intéressées, qui malgré l’appel seront forcées de partir en 2017, en pleine année du Bac...
La maman gagne en appel puis en cassation, le combat acharné continue contre la corruption, pendant que Christelle très heureuse poursuit de hautes études.
Des éléments du combat victorieux pouvant aider les autres familles seront diffusés publiquement sur internet.