Appel déchirant à tous les citoyens de la décence et du bon sens
Mesdames, Messieurs, citoyens du monde, l’heure est grave. Je vous parle aujourd'hui avec une douleur inexprimable, une tristesse qui me ronge, comme un bol de céréales laissé trop longtemps dans le lait. Oui, je parle ici d’un fléau, d’une plaie béante dans notre société moderne : mon ami Veriak et son insatiable besoin de dire "Feur" à chaque fois que quelqu'un prononce "quoi".
Imaginez-vous, tranquillement en train de converser, la confiance dans la voix, les idées claires, et là, vous dites par inadvertance "quoi". Vous pensez que c'est anodin, que vous êtes à l’abri... Et soudain, sans avertissement, sans la moindre once de pitié, un "Feur" retentit. C'est comme un coup de poignard dans l'âme, un éclat de silence méprisant qui détruit tout effort de communication civilisée.
Combien de vies brisées, de conversations avortées, de moments de paix et de bonheur réduits en cendres à cause de ce "Feur" ? Combien de regards vides, de gens qui ne demandent qu’à comprendre le monde, mais qui se retrouvent face à ce mur d'ironie fatale ?
C'est pour cela que nous avons besoin de vous. Oui, vous, cher lecteur, cher citoyen engagé. Ensemble, nous devons mettre fin à ce terrorisme verbal. Ensemble, nous devons rendre à "quoi" la dignité qui lui a été volée. Nous devons, tous unis dans cette cause sacrée, demander - non, supplier - Veriak de poser son "Feur" une bonne fois pour toutes.
C'est pourquoi je vous implore, de tout cœur, avec des yeux pleins de larmes (bien réelles), de signer cette pétition. Car chaque signature est un pas de plus vers un monde où "quoi" peut vivre librement, sans crainte de représailles terroristes. Ensemble, nous pouvons y arriver. Ensemble, nous dirons, enfin... "quoi" en paix.
Vous êtes sûr ? Votre mobilisation est importante pour que les pétitions atteignent la victoire !
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