Sauvons Meriam, chrétienne enceinte condamnée à mort au Soudan pour apostasie
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Bernard SOBKOWIAK
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Destinataire(s) :
l'Ambassade du Soudan
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La pétition
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Des nouvelles de Meriam Yahia Ibrahim Ishag, chrétienne condamnée à mort au Soudan pour apostasie. Meriam a pu quitter son pays et a été accueillie en Italie avec son mari et ses enfants. Elle a été reçue par le pape François. Sa condamnation a été annulée en appel le 23 juin, alors qu’elle avait accouché fin mai d’une fille en prison. Meriam Ishag, 27 ans, avait trouvé refuge fin juin à l’ambassade des Etats-Unis après l’annulation de sa condamnation.
VICTOIRE DE LA PETITION !
Des nouvelles de #Meriam Yahia Ibrahim Ishag, chrétienne condamnée à mort au Soudan pour apostasie. Meriam a pu quitter son pays et a été accueillie en Italie avec son mari et ses enfants. Elle a été reçue par le pape François. Sa condamnation a été annulée en appel le 23 juin, alors qu’elle avait accouché fin mai d’une fille en prison. Meriam Ishag, 27 ans, avait trouvé refuge fin juin à l’ambassade des Etats-Unis après l’annulation de sa condamnation.
Meriam Yahya Ibrahim : toujours en prison malgré une forte mobilisation
Malgré la très forte mobilisation autour de son cas, Meriam Yahia Ibrahim Ishag, une chrétienne soudanaise condamnée à la peine de mort pour sa religion est toujours détenue.
Le 27 mai 2014, Meriam Yahia Ibrahim Ishag, la jeune femme de 27 ans condamnée à mort par pendaison pour apostasie et à 100 coups de fouet pour adultère, a donné naissance en prison à une petite fille. Elle est actuellement emprisonnée avec son fils de 20 mois. Son mari, qui a pu leur rendre visite en prison, a souligné qu’elles se portaient bien. Le 5 mai, sa demande d’interjeter appel a été transférée à la Cour d’appel de Khartoum. Le 9 juin 2014, son avocat, Me Mohannad Moustapha, a déclaré à l’Agence France Presse : « le pouvoir judiciaire a désigné la semaine dernière trois juges pour examiner l’appel présenté dans l’affaire de Meriam Yahia Ibrahim Ishag » tout en précisant qu’il ignorait la date de l’annonce de la décision concernant cet appel. La situation de Meriam Yahia Ibrahim Ishag a soulevé un tollé international. Plusieurs pays, comme la les États-Unis, la France, la Grande-Bretagne et les Pays-Bas ont fermement dénoncé le verdict de la justice soudanaise.
Le 10 juin 2014, les présidents de la Commission européenne, du Conseil européen et du Parlement européen ont publié une déclaration commune, avec plusieurs leaders religieux, dans laquelle ils ont exprimé de manière collégiale « leur profonde consternation et inquiétude » concernant le sort de Meriam Yahia Ibrahim Ishag. Ils ont exhorté les autorités soudanaises à respecter la liberté de religion et à révoquer le « verdict inhumain » prononcé contre Mme Ishag et à la libérer « de toute urgence ». Les auteurs de la déclaration ont réaffirmé que « la liberté de religion et de conviction est un droit humain universel qui est placé en haute estime par l’Union européenne, et a besoin d’être protégé partout et pour tous ». Il est plus que jamais nécessaire d’agir en faveur de la libération de Meriam.
Non à l'exécution de MERIAM !
Née d'un père musulman, Meriam Yahia Ibrahim Ishag a été condamnée à mort par pendaison en vertu de la loi islamique en vigueur au Soudan depuis 1983, et qui interdit les conversions religieuses sous peine de mort. Elle a été condamnée un mois avant son accouchement pour avoir refusé de se convertir à l'Islam.
Nous condamnons fermement cette sentence et exhortons le gouvernement soudanais à respecter ses obligations définies par les lois internationales protégeant les droits de l'homme", et les "violations systématiques, flagrantes et continues de la liberté de religion" au Soudan.
"«Nous vous avions donné trois jours pour abjurer votre foi mais vous avez insisté pour ne pas revenir à l’islam. Je vous condamne donc à la peine de mort par pendaison. » Ces mots d’un autre âge, prononcés il y a six jours seulement par le juge soudanais Abbas Mohammed Al Khalifa, suscitent l’indignation aux quatre coins de la planète. "
Save MERIAM!
Born to a Muslim father, Ibrahim Yahia Meriam Ishag was sentenced under Islamic law in Sudan since 1983, and prohibits conversions under penalty of death.
She was sentenced a month before her confinement for refusing to convert to Islam.
We strongly condemn the sentence and urge the Sudanese government to respect its obligations under international laws protecting human rights, "and" systematic, flagrant and continuous freedom of religion "in Sudan.
Save MERIAM!