Pétition
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Auteur :
Auteur(s) :
MoIse Vinokourov Club des cinq millions
Destinataire(s) :
Monsieur le Président de l'autorité des marchés financiers
Pour quelles raisons l'Autorité Française des Marchés Financiers (AMF) ne poursuit-elle pas Goldman Sachs et la Société Générale comme l'a fait la Securities and Exchange Commission aux Etats-Unis ?
De nombreux articles, de nombreux témoignages, de nombreuses émissions de radio et de télévision alertent les citoyens français sur les malversations des banques françaises et de leur chef de file, la banque américaine Goldman Sachs.
Dans l'émission 3D du Dimanche 4 septembre 2011, le journaliste Marc Roche, journaliste financier, correspondant du Monde à Londres, explique le rôle de Goldman Sachs dans le maquillage des comptes grecques : «… revenons juste sous Goldman Sachs, c'est même mieux, puisque Mario Draghi, un ancien de Goldman Sachs, qui a été quand même mêlé au maquillage, indirectement au maquillage des comptes grecques, pour que la Grèce puisse rejoindre l'euro tout en respectant aucun des critères, donc le maquillage des comptes grecques est aujourd'hui à la tête de la banque européenne. »
Pour ceux qui veulent approfondir, l'émission est toujours en ligne, vous pouvez la ré-écouter et en particulier cet extrait du point 17 minutes 18 secondes au point 17 minutes 42 secondes de l'émission.
Pour ceux qui ont beaucoup de temps, le journaliste Stéphane Paoli met en lumière « … la masse noire, la masse invisible, celle qui pèse finalement le plus lourd. Est-ce que ce sont les banquiers de l'ombre qui aujourd'hui pèsent le plus lourd dans ce qui nous arrive, c'est à dire nous placer tous, tous, pas les français, la planète entière au bord d'une récession mondiale... » L'émission est intéressante à partir du point 6 minutes 37 secondes.
Page 34 de Télérama N° 3217 du10 au 16 septembre 2011, l'interview de Yann Moulier Boutang pointe sur : « l'exemple de la Grèce. En 2001, ce pays ayant rejoint la zone euro, une brillante économiste de la Goldman Sachs, formée à la London School, gratin du gratin, a proposé les services de sa banque au gouvernement grec pour qu'il trouve de quoi se financer sur les marchés. La banque a touché une commission ; ensuite elle a produit des chiffres truqués pour que la Grèce obtienne une bonne note auprès des agences de notation ; enfin elle a pris ce qu'on appelle des « positions », c'est-à-dire a parié sur le fait que la Grèce se casserait la figure. Et quand ça a été le cas, la Goldman Sachs a gagné beaucoup d'argent... »
Dans l'article intitulé « Crise des subprime : la SoGé et 16 autres banques poursuivies aux USA » du 3 septembre 2011 (Dossier Crise financière), nous apprenons que « Dix-sept banques et institutions financières, dix américaines et sept étrangères, sont visées par la plainte déposée vendredi à New York pour des fraudes dans les titres adossés à des prêts immobiliers à risque (« subprime »).
Et dans la liste des banques poursuivies, en septième position Goldmann Sachs et en quinzième position, la Société Générale.
Déjà, en 2010, nous pouvions lire dans un article de TradingSat : Société Générale : Les finances grecques plombent les valeurs bancaires. On pouvait y lire que les actions de la Société Générale, le Crédit Agricole et BNP Paribas étaient en baisse. (Le jeudi 8 avril 2010, l'action Société Générale était à 44,7 euros, le 9 septembre 2011 elle côtait 18,19 euros.)
Les petits épargnants français seront inévitablement victimes des malversations de la banque américaine Goldman Sachs et de la Société Générale.
Nous citoyens français, avec le club des