AIDEZ-MOI A DÉNONCER L’ESCROQUERIE AU JUGEMENT QUI RUINE LA VIE DE MA FILLE DEPUIS DEUX ANS EN PUBLIANT MON ARTICLE !
Pour dissimuler un dérapage, une victime jugée coupable !
Un témoin, sur une information erronée de l’agresseur, le prend pour un brigadier et arrête sa compagne, la victime. Ce témoin fait alors une fausse déclaration et appelle en renfort les brigadiers pour qu’ils confirment avoir vu les faits…
La victime, une frêle maman malentendante, employée des écoles, est alors insultée et terrassée par sept policiers, puis enfermée pour la nuit dans un hangar avant d’être emmenée au commissariat, où les policiers improviseront au petit matin une garde à vue en bonne et due forme. Ils portent plainte contre la victime, qui est jugée sans comparution au tribunal. De victime, elle devient coupable !
Dès lors, toutes les preuves fournies par Léa disparaissent. La juridiction n’instruit pas dans le sens de la vérité, mais s’appuie sur les seuls faux témoignages et les signatures factices, attestations médicales comprises, concoctés par les policiers et une de leurs collègues, ainsi que l’avocate de la victime.
Les avocats se succèdent pour empêcher sa défense, la victime subit un chantage sur son emploi si elle ne paye pas les faux témoins. Puis, c’est l’agresseur, propriétaire de la voiture, qui manque d’être écrasé à la suite d’une dénonciation constatée par huissier. Il réalise ses erreurs et décide alors de dénoncer les faits tels qu’ils ont été réellement vécus. Mais cela ne suffit pas, les fausses déclarations priment et d’autres s’y ajoutent même lorsque la victime produit les duplicatas de ses preuves…
Cette histoire est arrivée il y a deux ans, pourtant la victime, à ce jour, ne connaît toujours pas le contenu du dossier vide qui l’incrimine. Elle a perdu beaucoup de poids et sa santé.
Dans certaines juridictions, ce type d’histoire est récurrent. Des policiers produisent des faux témoignages et des faux médicaux et s’arrangent pour récupérer des indemnités frauduleuses. « Assistés » de leurs avocats et des médecins, ces membres de l’ordre national semblent intouchables.
On a tous en mémoire l'interpellation du numéro deux de la police judiciaire. Plusieurs affaires similaires avaient déjà été dévoilées, dont certaines avaient abouti à des placements en garde à vue pour des faits de corruption et de trafic d'influence. En résumé, pour échanges de « bons services »…
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