Non aux délinquants médicaux !

NOUS DÉNONÇONS LE SYSTÈME DE SANTÉ EN FRANCE, gâté par une délinquance médicale.

Notre Précieuse est morte, ce système l’a tuée.

Nous, les parents de l’adolescente décédée à 13 ans le 8 décembre 2021 ici en FRANCE, à Paris, après un long et abominable calvaire pour un refus de soins, dénonçons le système de santé Français où prolifèrent des délinquants médicaux qui profitent et gâtent notre système de santé au prix de vies humaines !

Aussi bien pour leurs revendications auprès de l’Etat, maltraitant les patients que nous sommes.

Ces individus sévissent, agissent sans être inquiétés hors portée de tout contrôle du Ministère de la santé.

(NON, ils n’étaient pas débordés lors de nos passages et OUI, ils avaient tous les moyens pour secourir cette jeune fille qui demandait à être secourue, même l’examen clinique... Elle ne l’a jamais eu...).

Nous avons subi une violence médicale de ces délinquants médicaux inouïe .

Nous avons été pris à parti, un mépris ignoble sur nos personnes, intentionnellement, refusant nos communications qui font parties de la prise en charge d’un patient et de l’examen clinique.

Au moment des faits, se présentait à eux une jeune fille en détresse médicale.

Shiloh mesurait 1,64m avec une poitrine développée et réglée, une adolescente qui se transformait en une magnifique jeune femme.

On a eu aucune empathie à son égard, ni respect devant son état d’urgence absolue, elle souffrait, ne tenait pas debout, avec un SEIN qui CLINIQUEMENT présentait tous les symptômes d’un cancer du sein.

Ils ne pouvaient le nier à moins que d’être aveugles ou mal attentionnés, tels que ces délinquants médicaux inconvenables et méprisants de surcroît auxquels nous avons été confrontés.

(Il n’y a plus aucune politesse devant le patient)

Nous n’étions pas dans le médical, ni même en milieu judiciaire… Mais chez des délinquants médicaux.

Beaucoup d’articles de presse relatent le calvaire de Shiloh... A cause d’eux... Ces délinquants médicaux.

On nous a méprisé, nous avons subi humiliations sur humiliations, nous maltraitant, maltraitant notre fille en refusant de la secourir, séquestrés même … Et menacés dans un hôpital du Val D’Oise, refusant toutes investigations sur son sein, laissant cette jeune fille dans la souffrance avec une poche inflammatoire profonde en intérieur.

Pendant ce temps la tumeur se propageait...

Si notre fille était tombée sur le Docteur House (une fiction américaine), elle serait en vie car il l’aurait traitée telle une patiente en détresse médicale.

Il aurait dit (ON CHERCHE, ON TROUVE) : "on élimine le premier risque de mortalité chez la femme" (LE CANCER DU SEIN).

On a bafoué ses droits d’accès aux soins et investigations urgentes que cette jeune fille nécessitait, intentionnellement.

Si elle avait été dépistée, elle aurait été opérable avec une espérance de vie de 12 ans et qui sait...

Vous vous imaginez, vous, les mamans et les papas, encore 12 années de bonheur à s’émerveiller devant votre fille en vie et à la couvrir d’amour.
La voir sourire, chanter, rire et danser... Shiloh me disait : "Je t’aime Maman", et elle écrivait : "Maman, Je t’aime..."

C’est un crime contre l’humanité intentionnel. Nous, parents de Shiloh, nous le crierons jusqu’à notre dernier souffle.

Shiloh est décédée en martyre avec un sein à l’état de putréfaction, rongeant la plèvre de ses poumons par leurs fautes.

Le système de santé doit reprendre le contrôle et le pouvoir afin de protéger les patients de ces délinquants médicaux.

On ne souhaite à aucune maman, aucun papa de vivre ce que l’on a vécu et ce que l’on vit et à aucune jeune femme de subir ce qu’elle a subi. 

Nous sommes confiants en la Justice pour rendre un soupçon de dignité à cette jeune personne.

Une Justice (d’exemple) pour que son calvaire ne soit pas vain.

Le Ministère de la santé, quand à lui, est (absent) face à ce drame. C’est le silence. On ne s’est pas rapproché de nous, la famille.

Jusqu’alors aucune colère ne nous habitait, mais devant le silence du Ministère de la santé, la colère s’est installée.

Je termine en signant de mes larmes.

Je rends hommage à ma chère fille, pour sa dignité devant ces délinquants médicaux. Elle est restée égale à elle même jusqu’au bout...

C’est un acte de courage que nous faisons, car il en faut du courage, pour oser.

On a besoin de vous encore un peu !

Pour la fin de la délinquance médicale !

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