Demande de réintégration au ministère de l'éducation nationale
Pétition
15
signatures
Encore 85 signatures pour que cette pétition ait plus de chances de devenir virale sur les réseaux sociaux.
Auteur :
Auteur(s) :
L.B.
Suivre cet auteur
Recevez l'actualité de cet auteur
Auteur suivi
Ne plus recevoir l'actualité de cet auteur
Destinataire(s) :
Mme la Ministre de l'éducation nationale
La pétition
Madame la Ministre de l'éducation nationale,
Nouvellement arrivée au ministère de l'éducation nationale, je m'adresse ainsi à vous afin que vous me permettiez de pouvoir réintégrer mon poste d'attachée dans le meilleur délai.
A la suite de calomnies et d'actes illégaux et tendancieux, j'ai été suspendue de mes fonctions en février 2010, et licenciée en octobre 2010, sans jamais que l'organe de mon corps ne soit ni sollicité, ni n'ait pris de décision de réintégration me concernant depuis, ni que je n'aie pu postuler sur aucun poste existant.
Pour refuser d'appliquer la décision d'annulation de la justice de juin 2011, des actes illégaux sans CAPN et sans engagement de ma part à rejoindre un poste ont été pris par le rectorat de Créteil depuis février 2010 et en septembre 2011, et depuis la suspension de mes fonctions, en février 2010.
Le ministère n'a pourtant mené aucune enquête pour les vérifier, et l'on m'a accusée d'insuffisance professionnelle alors que je me trouvais en congé de maternité et en formation au poste, ou même sans poste car en réalité non réintégrée sur un poste.
Deux décisions de justice n'ont jamais été appliquées à ce jour par le ministère de l'éducation nationale pour me réintégrer sur un poste réel, soit la décision du 16 juin 2011, et l'arrêt du 19 mars 2012 confirmant l'annulation de mon licenciement.
Pour me priver de mon emploi et de mes uniques ressources, le ministère me calomnie et m'empêche, en septembre 2011, d'obtenir mon détachement, en refusant de signer ma demande, afin que la capn d'accueil soit privée de traiter mon dossier.
Je demande à ce que ces procédures cessent et sollicite votre intervention à ma réintégration, et au rétablissement de mes droits sociaux et professionnels.
Il est ainsi usé de tromperie de la justice par vos services, pour prétendre que j'ai été réintégrée, en produisant des actes d'affectation auxquels je n'ai jamais donné aucun accord. Je n'ai pas pu postuler car j'en ai été empêchée par l'invalidation de mes codes d'accès au serveur des mutations par le service de gestion des attachés.
Il est ensuite prétendu pour me priver de mon emploi, qu'une capn aurait eu lieu, le jour de l'élection à la représentation des personnels le 13 octobre 2011, et de plus, alors qu'une autorisation d'absence pour le décès de ma tante m'était délivrée par le secrétaire général de l'inspection d'académie de Créteil, qui devait donc la transmettre au Président de la capn, de manière obligatoire, vu l'article 39 et l'article 41 du règlement intérieur de mon corps.
Cette capn n'a donc non plus eu lieu et est illégale, car non paritaire, étant donné la création du nouveau corps des attachés le 14 octobre 2011, intégrant tous les attachés interministériels.
A ce jour, je ne sais pas où se trouvent mes meubles et effets personnels contenus dans le logement de fonction.
J'en ai fait l'expérience : le secteur privé ne recrute pas les fonctionnaires.
A ce jour, ce sont des organismes de secours qui nourrissent ma famille, je subis une interdiction bancaire, et n'ai pas d'autres revenus. L'Etat doit respecter les lois et décrets votés, les décisions de justice, et les textes relatifs à la gestion des corps de ses personnels.
L'éducation nationale, qui prétend transmettre à vos enfants des valeurs d'honnêteté, de respect des lois, des valeurs de la République, a dans mon cas, bafoué ces valeurs, et je le dénonce.
Le rectorat de Créteil n'a notamment pas transmis mes demandes de détachement vers mon ancien ministère, qui m'accueillait, pour me priver de tout revenu, et me mettre en difficulté sociale et financière.
Je vous remercie de votre soutien à ma réintégration auprès de Mme la Ministre, car je n'ai pas d'autre possibilité,
et ne peux débuter une autre carrière à 15 ans de la retraite dans le secteur privé, qui me refuse.
Vous pourrez ainsi constater si grâce à votre intervention, mes droits ont enfin été respectés.
15
signatures
Signez avec votre email
Encore 85 signatures pour que cette pétition ait plus de chances de devenir virale sur les réseaux sociaux.
Veuillez sélectionner une option
Vous êtes sûr ? Votre mobilisation est importante pour que les pétitions atteignent la victoire ! Sachez que vous pouvez vous désinscrire dès que vous le souhaitez.
En signant la pétition, j'accepte que MesOpinions traite mes données à des fins de gestion de signatures et des commentaires. J'accepte également d'être informé(e) des actions citoyennes initiées via MesOpinions. Pour en savoir plus, sur ces traitements et sur mes droits, je consulte les conditions d'utilisation.
Madame la ministre, il n'est pas digne du ministère de l'éducation nationale de produire de tels actes sans commission et de ne pas respecter les décisions de justice qui ont annulé ce licenciement pris en vice de compétence. Madame, cette personne est mère de famille et a deux enfants jeunes à charge, et n'a plus de parents depuis longtemps. Merci pour elle de lui permettre de pouvoir réintégrer son poste.
20
Eric - Le 21/10/2014 à 13:08:44
lorsqu'on voit certaines choses comme : le loyer, les impôts oubliés; et l'interessé siège encore à l'assemblée!!!!!!!
20
Laure - Le 31/10/2014 à 11:30:25
Une décision de justice doit être appliquée, deux décisions de justice non appliquées n'est pas tolérable dans une démocratie digne de ce nom.