Auteur : Une maman désespérée face à "l'aliénation parentale"
NON À LA VIOLATION DE L'AUTORITÉ PARENTALE ET DES JUGEMENTS RENDUS EN TOUTE IMPUNITÉ !
Madame,
Nous sommes des millions en France à avoir perdu le lien avec nos enfants, suite à la séparation parentale (le divorce).
Les adultes peuvent faire le choix de ne plus vivre ensemble, mais en présence d'enfants, suite à leur union, ils demeurent et resteront parents.
Enfants et adultes doivent bénéficier de l'application du droit fondamental à la vie familiale.
Des millions d'enfants sont soumis à affronter une exclusion parentale dramatique et subissent une emprise mentale par un parent devenu aliénant, manipulateur, pervers toxique et cherchant coûte que coûte à éradiquer le lien de l'enfant avec l'autre parent.
Le père ou la mère est devenu soudainement mauvais parent alors qu'auparavant, il ou elle était considéré comme le ou la meilleure maman ou papa du monde... ! Mais ça, c'était avant le divorce.
Nos enfants aimeraient dire des choses essentielles qu'ils n'ont jamais eus l'occasion de dire et d'exprimer leur amour à l'autre parent, car ils sont prisonniers sous une emprise parentale allant à leur interdire de souhaiter "bonne fête maman", "bon anniversaire", "bon noël", leur empêcher de communiquer par téléphone, de leur interdire de les voir. Enfin d'enlever l'autorité parentale.
Aucun enfant ne doit devenir otage de la séparation parentale. Il aime indépendamment ses deux parents, nécessaire pour son développement de tous les jours et du futur adulte citoyen, de ses racines, ses liens.
Les grands-parents sont eux aussi des victimes meurtris, qui du jour au lendemain se retrouvent isolés, en toute injustice de leurs petits-enfants. L'article 371.4 du code civil stipule que l'enfant à le droit d'entretenir avec ses ascendants des relations personnelles.
Récemment, la Cour Européenne des droits de l'homme a statué sur l'article 8.
L'aliénation parentale découle aussi de dénonciations calomnieuses envers l'autre parent qui devraient être prises très au sérieux qui cherchent avant tout à s'approprier pour eux seuls et d'écarter définitivement l'autre parent de la vie de son ou ses enfants.
Madame,
Face aux lacunes évidentes dans le fonctionnement de la justice familiale qui se trouve dépassée, croulant sous les dossiers, des procédures souvent trop longues, des plaintes méprisées, ignorées, manque de formation, de moyens, notre droit français hélas trop souvent non appliqué en toute injustice.
Il n'est pas acceptable que l'Etat français reste dans l'indifférence absolue comme depuis plusieurs années. Il est essentiel d'apporter à tant de victimes votre soutien en faisant reconnaître aux dirigeants du gouvernement, aux avocats, aux travailleurs sociaux, aux médecins, aux magistrats, etc. Que "l'aliénation parentale" existe bien et qu'il faut agir vite et fort.
La nier, c'est continuer à affirmer que la terre est plate.
Nous vous laissons le soin de l'intérêt que vous porterez à notre souffrance.
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