Encore 37 signatures pour que cette pétition ait plus de chances de devenir virale sur les réseaux sociaux.
Auteur :
Auteur(s) :
Stéphane Vincent
Suivre cet auteur
Recevez l'actualité de cet auteur
Auteur suivi
Ne plus recevoir l'actualité de cet auteur
Destinataire(s) :
Nous tous
La pétition
A l'heure où l'intelligence artificielle s'annonce être une vraie connerie, ne la laissons pas entrer et gérer nos vies comme si nous étions des robots ou des hologrammes identiques à ce qu'elle représente.
Et surtout pas en matière de justice, quand on voit les dégâts RH qu'elle est capable d'engendrer en matière de licenciements !
Déjà qu'il est difficile de contester un pauvre PV auprès de notre Administration Française, ou même de se revendiquer victime d'une usurpation d'identité sur internet, imaginez si demain d'un simple appui sur un bouton on déciderait qui de nous ou de notre voisin, ou concitoyen était coupable ou bien innocent, condamné ou relaxé !
Réfléchissons bien, vite et bien car elle arrive, hop, elle est déjà là !
Aujourd'hui, on peut encore en parler, s'engueuler à son sujet, demain c'est elle qui nous fera taire et nous punira pour avoir même osé y penser... Quand nous serons tous pucés ou Qrcodés, mais ça c'est le prochain combat, ou peut-être déjà celui d'hier...
63
signatures
Signez avec votre email
Encore 37 signatures pour que cette pétition ait plus de chances de devenir virale sur les réseaux sociaux.
Veuillez sélectionner une option
Vous êtes sûr ? Votre mobilisation est importante pour que les pétitions atteignent la victoire ! Sachez que vous pouvez vous désinscrire dès que vous le souhaitez.
En signant la pétition, j'accepte que MesOpinions traite mes données à des fins de gestion de signatures et des commentaires. J'accepte également d'être informé(e) des actions citoyennes initiées via MesOpinions. Pour en savoir plus, sur ces traitements et sur mes droits, je consulte les conditions d'utilisation.
L'intelligence artificielle va soit disant révolutionner notre vie mais "en même temps" accroître le chômage. Nous avons déjà Internet et bientôt l'IA, les robots tellement intelligents qu'ils vont remplacer l'homme " inculte, décadent, inutile etc" dans divers tâches ou domaines. Plus aucun contact humain, plus d'interlocuteurs pour nous répondre et nous conseiller (juridiquement, administrivement etc). Une belle pagaille en perspective mais qui s'avéra sûrement rentable pour que les gens se lassent et abandonnent leurs dûs ou leurs droits. Macron nous a prédit la guerre lors de la pandémie "nous sommes en guerre" et par la suite "la fin de l'abondance". Leurs funestes projets, instaurer la peur, la précarité et la soumission.
31
Elodie - Le 03/01/2024 à 20:12:17
Il n'y aurait plus d'humanité si on laisse faire ça, déjà que l'humanité n'existe pas vraiment dans la justice. Les mot-clés géré par cette intelligence artificiel rendrait encore plus débile et sans aucun sens les jugements.
00
Jereme - Le 08/11/2023 à 13:46:31
La force des habitudes S'habituer, c'est renoncer. Ne nous habituons jamais à tout ce qui se passe sous nos yeux. C'est l'erreur la plus cruelle, celle qui pousse à se dire que "Finalement, c'était pas si grave". Ce murmure oppressant qui veut nous faire croire qu'une page tournée est toujours plus agréable qu'une colère qui demeure. Non, tout cela n'est pas dans l'ordre normal des choses. "C'était pire avant" et "On verra demain si c'est mieux" sont nos menottes. Des bouleversements de société comme celui incarné par la crise du Covid-19 sont la preuve que l'habitude est un poison lent, discret et qui vous détruit en un claquement de doigts quand il se réveille. Restons vigilants. Gardons nos neurones en alerte. Assurément, nous ne changerons jamais la face du monde. Mais nous aurons agi, déjà en ayant gardé les yeux ouverts. Nous aurons agi, aussi, en parlant. On se dit qu'une vidéo YouTube, par exemple, peut avoir un écho suffisant aujourd'hui pour alerter les esprits et amorcer un changement. Mais n'oubliez jamais : parler à son voisin, à son boulanger, à un collègue, le changement se cache aussi dans le banal. N'oublions pas que les crises traversées font de nous des individus de plus en plus atomisés, esseulés, éloignés. Par la peur, par les désaccords, par la distance, nous nous éloignons. Et l'individu seul s'enferme tôt ou tard dans le cachot de ses pensées qui reprennent en miroir ce que les écrans auront bien voulu dire. Mais deux individus qui échangent, qui discutent, qui débattent ? Que peuvent-ils ? N'oublions jamais la force du commun. Ceux qui attendent l'inverse pourront peut-être bien gagner la partie un jour. Mais offrons-leur un combat digne de ce nom.