La justice française a vu le jour il y a plusieurs siècles maintenant. Au fil du temps, de nouvelles lois ont été établies, de nouvelles institutions politiques, économiques, sociales et judiciaires sont apparues. Pour s’assurer de respecter les droits de l’Homme et se convaincre de son humanité, la France a mis en place des lois pour protéger les accusés.
L’abolition de la peine de mort en 1981, la création de la probation en 1958 ou encore la présomption d’innocence sont autant de mesures prises par la France pour traiter les criminels et les délinquants avec humanité et ainsi se persuader de rester en accord avec les droits de l’Homme. Cette “humanité” a acquis plusieurs noms au fil des ans: bienveillance, faiblesse, lâcheté, laxisme, etc. Cependant, les chiffres parlent pour nous, car selon CNEWS, 81% des gens interrogés à ce sujet estiment la justice française “trop lente”, “trop laxiste”. Sommes nous étonnés ? Pas le moins du monde ! La vérité, c’est que la France se gangrène, pour ne pas dire qu’elle pourrit dans sa propre perversité ! Mais soyons réalistes, aucune institution ne peut à ce point faire preuve d’indulgence et mettre ça sur le compte de la bienveillance et d’une soit disant présomption d’innocence ! La seule explication possible, et qui a encore du sens aujourd’hui, est qu’il existe ce qui ressemble à une transaction pécuniaire entre les “HOMMES DE LOI” et une communauté agissant dans l’ombre et nommée CRIME ORGANISÉ !
Le crime organisé, tel que nous le connaissons actuellement, est en activité depuis près d’un siècle. La mafia New-Yorkaise lors de la prohibition (aux Etats-Unis), les Triades chinoises sous Du Yuescheng dans les années 1940, ou encore la Casa Nostra en Italie, sont autant de groupes criminels que les gouvernements aident, à leur propre insu, à s’enrichir.
Pour trouver la vérité vrai, il faut bien chercher, et moi, votre journaliste dévoué, j’ai fouiné, fouillé et déterré les cadavres cachés dans les placards.
C’est pourquoi je peux vous dire que, même si le gouvernement s’en cache, il sait pertinemment que son système prend l’eau. Vous voulez une preuve ? En voici une.
Vous savez sans doute que le gouvernement français détient 25% de la chaîne de télévision Arte. Eh bien, apprenez que dans la première partie du documentaire “Mafias et banques”, il est dit, je cite, “les gouvernements, sans le savoir, contribuent largement à l’accumulation de fortunes criminelles, par le biais de lois apparemment promulguées pour protéger leurs économies ou leurs citoyens”, et qu’ils “ne sont pas aussi bons pour trouver l’argent sale qu’ils le sont pour aider à le créer”. Si vous n’appelez pas ça un aveux signé de la part du gouvernement, qu’est-ce que cela pourrait être d’autre, je vous le demande.
Prenez par exemple une affaire qualifiée de “plus grande fraude au chômage partiel commise en France pendant la crise du Covid “ selon la procureure en charge du procès. Un homme avait participé à une escroquerie de grande envergure et réussi à spolier le gouvernement de 11 millions d’euros, destinés aux entreprises en difficultés pendant la crise sanitaire. L’homme avait soumis des milliers dossiers pour le compte de sociétés fictives. Simple comme bonjour ! Il avait été arrêté avec 1,7 millions d’euros emballés dans des sacs plastiques alors qu’il tentait de rejoindre Tel-Aviv.
L’homme, inculpé en 2020 suite à son arrestation, a été relaxé en 2023. Selon le tribunal correctionnel, “il n’y avait pas assez d’éléments pour le relier à la fraude”. MAIS QUELLE ABERRATION ! Le réseau criminel agissait depuis Israël, ce qui implique une organisation criminelle. Il est impensable de remettre en liberté un homme arrêté en possession d’1,7 millions d’euros volés, à moins d’être soi même en relation douteuse avec le réseau criminel impliqué. Cela a pour nom, CORRUPTIONsur personne détentrice de l‘autorité.
Ce “léger problème” de corruption avait déjà été souligné en 2007 par Transparency International, la coalition mondiale de lutte contre la corruption.
Le rapport que la coalition a publié tend à montrer que “partout dans le monde, la corruption porte atteinte au système judiciaire”, ce qui inclut bien évidemment la France.
Souvenez-vous de l’affaire François Thierry, l’ex patron de l’Office central de lutte contre le trafic illicite de stupéfiants (Ocrtis). Il avait été mis en examen pour complicité de trafic de stupéfiants après une saisie retentissante de cannabis (7 tonnes environ). A l’époque, il existait une rivalité entre la police et les douaniers qui se disputaient les saisis de drogue. D’après l’une de mes sources proche du dossier (que je ne prendrai pas le risque de citer), monsieur Thierry facilitait les acheminements de drogue pour le compte de Sofiane Hambli, un acteur du grand banditisme, en omettant de livrer certaines informations à la magistrature. En échange, S.Hambli lui donnait des informations sur un trafiquant rival et lui permettait de faire des saisis importantes. Même si cette charge d’accusation a été retirée par les magistrats, je peux vous assurer que ma source est fiable à 99,9%.
De plus, monsieur François Thierry avait reconnu avoir rédigé un faux procès-verbal de garde à vue pour justifier l’extraction de prison d’un gros trafiquant de cannabis qu’il avait recruté comme informateur, Sofiane Hambli. Il avait également affirmé que cette mesure avait été prise en concertation avec des magistrats du parquet de Paris. Lesquels ont bien évidemment nié avoir été mis au courant. Cette affaire a été qualifiée de scandale d’État. En 2023, le parquet de Bordeaux a réclamé un non-lieu pour l’ancien chef de la lutte anti-stupéfiants. Ce non-lieu ne met-il pas en évidence un quelconque arrangement financier destiné à étouffer l’affaire après des années de scandale ?
L’institution judiciaire française est sans aucun doute infiltrée de toutes parts par le crime organisé depuis des années. Bien évidemment, la loi du silence prime parmi ses membres, c’est pourquoi la majorité n’est jamais inquiétée. De nos jours, le crime organisé est rallié par des membres de l’institution judiciaire en manque d’argent, qui croulent sous les dossiers, ou qui éprouvent un besoin de notoriété publique et de reconnaissance.
Quoi qu’il en soit, s’il peut y avoir de la corruption dans des affaires aussi importantes que celles que j’ai citées, il doit y en avoir au moins autant pour des affaires de moindre importance ! Après tout, la corruption ne se résume pas qu’à l’argent... À vous d’en juger ...
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