Justice laxiste - NON à la libération anticipée des terroristes en France

Madame la Ministre de la Justice,

Monsieur le Ministre de l'Intérieur,

Il y a quelques mois, les habitants de Langeac puis ceux de Brioude avaient été choqués et très en colère en apprenant que leurs petits villes accueillaient UN TERRORISTE algérien placé en "résidence (dite) surveillée". Cet individu s'est bien sur déplacé tout à fait librement et fièrement dans les rues de leurs paisibles bourgades jusqu'à ce qu'il décide de s'évader à nouveau, en date du 12 mai 2013, et ce sans aucune difficulté, ainsi que toute personne avisée et pour le moins responsable aurait pu le prédire.

Et maintenant :

- à l'heure où le communautarisme prospère et au moment ou les pouvoirs publics et les médias ne cessent, sans doute à juste titre, d'inquiéter les français sur les menaces terroristes,

- à l'heure où le Ministre de l'intérieur a déposé à l'Assemblée Nationale un projet de loi contre le terrorisme,

- à l'heure où une intervention anti-terroriste est menée au Mali par notre armée

- à l'heure où ce dangereux terroriste a décidé de transformer sa liberté surveillée (même pas entravée par le moindre bracelet électronique !) en totale liberté.


Il faut que tous nos citoyens sachent qu'une fois de plus le laxisme de notre justice à encore frappé. En effet, quelle est cette justice qui laisse aujourd'hui en liberté, en France, à Langeac tout d'abord, à Brioude ensuite, Saïd ARIF, militant islamiste condamné pour TERRORISME à 10 ANS de prison avec décision d'exclusion du territoire en 2007 ? Oui le compte est bon pour cette drôle de justice : 2007 + 10 = 2012 !!!!!


Il est vraiment très intéressant d'être aujourd'hui en France un terroriste, reconnu par la cour d'Appel de Paris comme un important responsable d'Al-Quaïda, (ayant projeté des attentats à l'arme chimique ou biologique contre la tour Eiffel, un grand magasin du forum des halles et d'autres établissements),condamné pour cela à la peine maximale de 10 ANS d'emprisonnement assortis d'une peine de sureté des 2 tiers, et finalement se retrouver libéré dès le mois de décembre 2011 pour être placé en résidence surveillée et s'évader sans aucune difficulté en février 2012 (rattrapé en suède), être à nouveau condamné à 6 mois de prison en juin 2012 et réussir à se faire payer des vacances à l'hôtel à LANGEAC dès le mois d'octobre, à Brioude ensuite du mois de novembre 2012 jusqu'à ce joli mois de mai 2013 (fais ce qu'il te plait!!), aux frais du contribuable !!!


Voilà une fois de plus, la preuve du laxisme de nos juges et du dysfonctionnement de notre justice incapable de faire appliquer l'intégralité des peines prononcées pour un délit gravissime : le projet reconnu d'attentats TERRORISTES. Il est de plus bien connu que les périodes de résidence surveillée ne s'achèvent pas de la meilleure manière.


Voilà ce que les français doivent savoir afin qu'une fois de plus la question suivante vous soit posée : pourquoi les peines prononcées par la justice française en matière de délits commis, en particuler dans un domaine aussi GRAVISSIME que celui du TERRORISME, ne sont pas intégralement effectuées?


C'est pourquoi nous vous demandons Madame la Ministre de la Justice, Monsieur le Ministre de l'Intérieur :

- de cesser, en France, de libérer de façon anticipée des individus jugés comme terroristes,

- de cesser de les récompenser par des séjours, logés et nourris, dans nos hôtels provinciaux,

- d' avoir le courage lorsque qu'une exclusion du territoire est prononcée, et une fois leur peine intégralement effectuée, de les renvoyer chez eux,

- d' avoir le courage aussi de refuser à de tels individus, devenus indésirables dans leur pays, la possibilité de profiter de notre belle "terre d'accueil" pour demander l'asile et être des réfugiés politiques dans ce pays qu'ils mettraient bien volontiers à feu et à sang - (tel était le cas de ce terroriste en résidence - non surveillée- à Langeac puis à Brioude dont la demande d'asile était en cours auprès de l'Office de protection des réfugiés)

Les citoyens français, signataires de cette pétition veulent prendre collectivement en main leur destin et refusent d'accepter que ceux qui les dirigent n'aient plus le courage ni les moyens de les débarasser de ces invités encombrants qui sont des terroristes notoires et, qui malgré cela, sont très discrètement envoyés en résidence dite surveillée dans de paisibles petites villes provinciales, sans que la moindre information et concertation aient été faites auprès des populations et de leurs élus concernés.

Nous vous remercions Madame la Ministre de la Justice, Monsieur le Ministre de l'Intérieur , de l'attention que vous aurez pu porter à cette pétition et nous ne doutons pas des décisions que vous saurez prendre au regard de l'intérêt supérieur et général qu'est celui de la Sécurité des Français.